Un Juge qui fait condamner un innocent en occultant les 21 preuves de son innoncence
Ce magistrat ne connait pas l'exigence d'impartialité de sa fonction et c'est lui qui oriente le jury pour une condamnation car il est, le maître de la manipulation des jurés inexpérimentés.
Lorsqu'il veut faire condamner un justiciable et couvrir les dysfonctionnements scandaleux de la parodie d'instruction de ses collègues, il occulte les preuves de l'innocence, insulte grossièrement le justiciable, le traite de négrier pour en faire un monstre aux yeux des jurés et le tour mafieux est joué.
Prenez connaissance des 21 preuves de l'innocence du Docteur Rachid MABED et vous comprendrez que Dominique BREJOUX est un magouilleur hors pair, à l'origine d'une déroute judiciaire volontaire unique dans les annales de la justice.
Il savait qu'un homme respectable, innocent et victime d'une accusation mensongère, risquait la prison, mais comme ce n'est pas son fils, ni son frère, ni un proche alors il l'envoie au trou pour des années.
Comme ce juge ne respecte rien ni personne alors nous ne pouvons pas le respecter.
Ce juge corrompu est une grosse merde !
Un attentat judiciaire unique depuis DREYFUS
Nous pouvons affirmer que l'affaire du capitaine DREYFUS est moins grâve que ce dossier Rachid MABED dont les droits ont été outrageusement bafoués.
Tout simplement parce que la dérive judiciaire à l'origine de l'affaire DREYFUS, a eu lieu dans une période de dictature alors que l'affaire du Dr Rachid MABED a eu lieu dans la 5ème république dite respectueuse des droits de l'homme et des institutions européennes.
C'est un scandale judiciaire unique dans les annales de la justice française depuis la deuxième guerre mondiale car cette dérive est volontaire de la part du juge corrompu, Dominique BREJOUX.
Aucun respect des lois de la république, aucun respect du serment prêté devant ses pairs, aucun respect des droit de l'homme et encore moins des droits de la défense.
Au moment où la loi TAUBIRA fut votée à l'assemblée nationale, Dominique BREJOUX s'est illustré en violant cette loi avec une impunité monstrueuse.
La haine du noir pour ce juge raciste est poussée jusqu'à avoir un clash avec l'avocat de couleur Alex Jean URSULET ( Barreau de Paris) en plein audience d'assises du Var où la presse a dénoncé un procés tronqué.
Il a fait de même avec Maître Isabelle COUTANT-PEYRE dont la couleure de la peau ne faisait pas partie de race Aryenne telle que le Nasisme l'avait proclamé. Cette avocate a dû se contenir devant les débordements, inconvenants et insultant, du juge Dominique BREJOUX.
Dominique Bréjoux ne porte aucun respect à la mémoire des victimes de la traite des noirs puisqu'en pleine audience d'assises du VAR, il a pris pour son compte de traiter le justiciable Rachid MABED de Négrier.
S'adressant à Rachid MABED alors que l'accusation de viol était visiblement fausse sur dossier, il déclare devant l'ensemble des jurés: " Donc M. MABED, Vous êtes un négrier ".
Plus tard, pour se disculper d'avoir tenu illicitement ces propos inacceptables, ce mafieux déclare qu'il n'avait que repris les propos d'un témoin alors que dans tous les cas de figures, son impartialité le lui interdisait formellement faute d'orienter le jury vers une condamnation.
Pour les observateurs qui connaissent les dérives judiciaires de cette crapule, cela est normal car ce magistrat a fait condamné avec partialité, un nombre impressionnant de noirs et d'Arabes, avec ses influences connues sur les jurés d'assises.
Dés lors que le verdict est proclamé par ce juge salopard, il devient inadmissible qu'un justiciable condamné par sa majesté, le Président BREJOUX, que son jugement fasse l'objet de remise en cause.
Ce qu'il décide doit devenir parôle d'évangile, bien que sa dérive judiciaire envers le Dr Rachid MABED et qui fait la nique aux lois de la République durant les débats pipés, de la cour d'assises du var de septembre 2002, était purement mafieuse.
Ce magistrat macchiavélique a fait des cours d'assises une pièce de théatre dont il a programmé par avance le verdict.
Ce juge clown mais mafieux, amuse le public par des jeux de mots illicites, chante des airs d'opéra aux jurés, insultes le justiciable qui ne lui plait pas, refuse de donner acte de procédure lorsqu'il déborde dans ses propos sans se soucier du respect de la loi.