Réponse à l'article de Nice Matin du 21 février 2017

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contre MABED
21 preuves d'innocence

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Texte du droit de réponse:

Le Docteur Rachid MABED répond aux accusations

En date du 21 février 2017 (en page 10), votre quotidien Nice Matin a publié sur la pleine page , dans tout le département des Alpes Maritimes, un article anonyme me fustigeant.

Je suis étonné par le discrédit jeté sur l'ensemble de la magistrature, la traitant de laxiste sans connaitre le résultat des procédures, ni sur le fond ni sur la forme.

Malgré la dérive judiciaire évidente que j'ai vécue, je précise que je respecte l'institution judiciaire et la magistrature qui est probe dans sa majorité.

Pour justifier la mise en cause par le site des notables impliqués dans ma condamnation inique, je suis obligé de vous illustrer la chronologie incroyable de ma descente programmée en enfer :

1- Un contrôle fiscale (début 1997) qui a débouché sur un quitus comptable de ma société qui comptait 6 employés...

2- Une procédure pénale abusive pour exercice illégale de la profession de conseil en gestion et pour abus de faiblesse (fin 1997). J'ai été relaxé par la cour d'appel d'Aix en Provence...

3- Une employée de l'hôtel (Hager), condamnée pour trafic de stupéfiants par le TGI de Nice en 1992 et qui fut mise à pied pour vol (après avoir sollicité la police pour la faire partir), dépose une plainte pour harcèlement sexuel mentionnant ne jamais avoir été violée (27 décembre 1997). Cette plainte a été classée sans suite...

4- Un supposé entrepreneur dépose sur mon bureau une enveloppe d'argent (Février 1998), expliquant que c'est ma commission pour les travaux effectués au sein des hôtels dont j'étais le directeur. J'ai refusé avec fermeté puis il s'est avéré que le corrupteur est un policier en exercice...

5- Le préfet qui se plaint dans votre article, m'a fait interné 11 jours abusivement sur la base d'une expertise imaginaire (février 1998). La cour administrative d'appel a annulé cette décision pour abus de pouvoir...

6- Une tentative d'assassinat est commanditée à mon encontre (Le 14 Mars 1998). Un voyou armé d'un 357 magnum a fracturé la porte de mon cabinet et a raté son coup grâce à ma réactivité. La brigade spécialisée a constaté les faits mais l'affaire fut étouffée...

7- j'ai été mis en garde à vue pour viol sur mineure de 14 ans suite à la plainte de la mère (Hager). La gamine a avoué avoir mentie. Aucune enquête n'a été diligentée pour savoir qui l'a manipulée et quelle fut la responsabilité de sa maman...

8- Au lieu de me libérer après avoir constaté mon innocence en matière de pédophilie, la police fait pression sur la mère (Hager.) qui dépose sur le champ une nouvelle plainte pour un viol sur sa personne cette fois-ci alors que je ne l'ai plus revue depuis sa plainte classée sans suite (5 mois plus tôt).Contre toute attente, cette plainte est validée par le parquet sur une simple déclaration de viol, appuyée par un certificat médical reconnu falsifié par le médecin supposée l'avoir délivré.

Mon dossier pénal aurait dû être classé sans suite durant la garde à vue et jamais je n'aurais dû être traduit aux assises donc de dépendre de la conviction d'un jury populaire aléatoire. Pour y parvenir, il a fallu que les juges en charge de la procédure, violent copieusement les lois de la république.

D'ailleurs, le procureur de Nice, Eric de Montgolfier, a déclaré le 10 mai 2000 devant une salle comble de cour d'assises que "Monsieur Rachid MABED est poursuivi sur la base d'une simple déclaration".

Je persiste et signe, avoir fait l'objet d'une instruction partiale à charge, de 2 jugements dont les présidents ont usé de manipulations.

J'ai été condamné pour viol sur la base d'un certificat médical que la cour d'assises a reconnu comme falsifié tout en refusant d'en donner acte pour ne pas appliquer l'article 655 du Code procédure pénal qui m'innocente sur le champ.

Je passe outre les violations des droits de la défense durant la procédure, la vingtaine de preuves de mon innocence encore disponibles, l'interdiction de me laisser parler en dernier en 1ère audience d'assises (conformément à la loi) et les insultes proférées par le président de la cour d'assises d'appel qui m' a demandé "de fermer ma gueule" après m'avoir traité de "négrier".

Maître Isabelle COUTANT PEYRE avait d'ailleurs bien eu raison de déclarer à la presse qui publia sa déclaration, que mon procès était une «  ratonade judiciaire  ».

Je ne pourrai jamais accepter cet assassinat judiciaire qui a chamboulé mon existence et de me taire en "prime".

Quant au journaliste Didier Chalumeau qui se plaint dans votre quotidien, il ne mentionne pas qu'il a publié non pas un appel à témoin (Mai 1998) mais un article fallacieux qui me présente comme violeur et un faux Docteur qui enseigne à l'université de Nice.

En violation de la loi et de la présomption d'innocence, ce dernier a publié ma photographie en grand format dans vos colonnes, ce qui lui a valu une condamnation pénale pour atteinte à la vie privée.

Aujourd'hui, il se fait passer pour une victime expiatoire occultant que c'est lui l'agresseur.

Un amalgame est fait entre ma condamnation injuste pour viol sans ADN ni témoignage ni preuve et les déclarations justifiées de personnes qui dénoncent mon comportement autoritaire en ma qualité de directeur (il en faut de l'autorité).

Il n'y a jamais eu 10 personnes qui ont porté plainte contre moi et les 3 étudiantes de l'université (renvoyées de mes travaux Dirigés pour être arrivées 30 mn en retard) ont été sorties de leur cours par la police pour porter plainte après avoir été briefé mensongèrement sur le fait que j'aurais violé une gamine de 14 ans.

Je précise qu'en ma qualité d'enseignant, j'avais plus de 1000 étudiant(e)s dans 3 sites différents de l'université et à l'école supérieure de commerce.

L'enquête diligentée par la police qui escomptait pouvoir m'enfoncer, m'a été favorable puisqu'elle a démontré mon sérieux sachant que j'ai bénéficié du soutien du directeur de l'IUT de Nice (qui m'a rendu visite en prison) et de la responsable pédagogique de l'école de commerce qui m'a soutenu à toutes les étapes de la procédure.

En définitive, le directeur de la publication du site " monstrueuse injustice " ne fait que publier sur une dérive judiciaire avérée dont les faits sont justifiés, vérifiés et prouvés.

Rachid MABED
Docteur es Sciences Université de Nice, (info direct Bibliothèque France)

Il n'y a aucune différence entre les tyrannies militaires dans le monde et la dictature judiciaire en France. Lorsque la magistrature Française bafouent les droits de l'homme volontairement et qu'elle porte sciemment atteinte aux droits de l'homme et à la dignité du citoyen, c'est exactement ce qui est reproché aux régimes autoritaires militaires.

Par conséquent, nous avons la preuve que la France est une République Bananière.