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Un assassinat judiciaire commis par des notables mafieux vétus en robe de magistrat
COMPLOT
contre MABED
Nice Matin Juges mafieux Journalistes Corrompus Affaire MABED 21 Preuves d'innocence de MABED Juge
Mafieux RENARD
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CCes magistrats corrompus et leurs comparses, font de la France une république bananière
Donneur d'alerte, Rachid MABED fut victime d'un assassinat judiciaire
"Quand l'ordre est injustice, le désordre est déjà un commencement de justice!" Romain Rolland

Rachid MABED est un militant pour la défense des droits de l'homme qui a alerté l'opinion publique sur 27 agressions policières racistes, l'assassinat de M. LOUCIF Abderrahim (Algérien) dans les locaux de la police et sur l´affaire de pédophilie couverte par des notables niçois.
En 1998, il a dénoncé l'affaire de pédophilie <KAMEL> impliquant Jean-Paul RENARD, doyen des juges au Tribunal de Nice, alors que ce dernier s'est octroyé l'instruction de ce dossier, pour se protéger. Dés lors, le juge Renard a été mis sous la sellette jusqu'à sa radiation.
Des représailles foudroyantes: Le juge Jean-Paul RENARD (aujourd'hui radié de la magistrature pour collusion avec la mafia Italienne), l'a fait traduire illégalement devant une cour d'assises puis l'a fait condamné sur une simple déclaration d'une indicatrice de police, sans aucune preuve.
Il fut condamné avec un certificat médical falsifié reconnu comme faux document par le médecin traitant supposé l'avoir délivré et malgré les 21 preuves de son innocence,occultées par des juges comparses.
Sous la houlette de ce magistrat instructeur corrompu soutenu par des comparses racistes en col blanc, la mafia judiciaire a décidé de l'éliminer illicitement ! Lire la suite

L'affaire "DREYFUS" est aux Juifs ce que l'affaire "MABED" sera aux musulmans

L'affaire DREYFUS qui a eu lieu au siècle dernier durant la période de dictature est devenue anecdotique face à la condamnation islamophobe du Docteur Rachid MABED qui a eu lieu au 21ème siècle dans une France dite démocratique.

Cette monstrueuse injustice commise volontairement par la magistrature, a donné lieu à un déni de justice inqualifiable, insupportable, inhumain et digne de la sauvagerie propre aux pires dictatures de ce monde.

La nette diminution des actes antisémites que constate la communauté juive de France, est inversement proportionnelle à l'augmentation exponentielle des exactions islamophobes qui frappent de plein fouet, les musulmans.

Désormais, la barbarie judiciaire qu'a vécu en France Rachid MABED, est devenue le label incontournable qui vient marquer de son empreinte, les jugements islamophobes que la justice française rend à une catégorie de justiciables, à cause de leur origine religieuse.

A l'avenir, la communauté musulmane fera de l'affaire "MABED" la référence incontournable de l'islamophobie judiciaire qui gangrène le système judicaire français au même titre que l'affaire "DREYFUS" l'est pour l'antisémitisme.

Cette affaire qui touche un algérien en France, est un trésor à conserver dans la mémoire du peuple algérien car elle illustre une rancune tenace qui est portée par les héritiers de la colonisatation à savoir les adeptes de l'Algérie française.

Un attentat judiciaire a été commis par des magistrats de la république française qui ont utilisé comme arme pour matérialiser leur haine du musulman, le fonctionnement corrompu de la justice.

La férocité judiciaire qui est prouvée avec une certitude qui ne laisse aucune place au doute, est la face cachée d'une dictature judiciaire que l'Etat Français occulte pour conserver son image de proue.

Elle expose la contradiction qui a lieu entre le discours officiel de la France dite pays des droits de l'homme et les jugements corrompus racistes qui abondent dans les tribunaux de la république française.

Les prisons françaises sont majoritairement peuplées de musulmans et pour contrer les rapports ministériels pipés qui nient l'analyse statistique par religion, il suffit d'y effectuer une visite pour le constater de visu.

Avec son célèbre "j'accuse" qui dénonça une horreur judiciaire antisémite, l'écrivain Emile ZOLA est entré dans l'histoire de la France par la grande porte et nous attendons de connaître le nom du prochain sage intellectuel qui le suivra, en publiant la plus grande barbarie judiciaire islamophobe du siècle que constitue l'affaire "MABED".

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La Victime Rachid MABED

-Docteur es Sciences Université de Nice, (info direct Bibliothèque France).
- Titulaire du certificat Européen des Hautes etudes Internationales.
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Enseignant à l'Université de Nice, à l'IUT de Cannes, de Sophia Antipolis et à l'Ecole supérieur de commerce de Nice..
- Gérant d'un Cabinet de Conseil en Gestion et ex Directeur de 2 hôtels dans le centre de Nice côte d'azur.
- Arbitre de Football du district de la côte d'Azur durant 15 années.
- Membre d'Amnesty international groupe 231 Nice durant plus d'une décennie.

MONSTRUEUSE INJUSTICE

Rachid MABED: le donneur d'Alerte que la mafia judiciaire a décidé de l'éliminer, via le juge mafieux Jean-Paul RENARD et son comparse/ami, Yves LE BOURDON, Président de la chambre d'acciusation d'Aix en Provence.

Le Docteur Rachid MABED a dénoncé l'affaire de Pédophilie au sein du TGI de Nice dans laquelle était impliqué Jean-Paul RENARD, doyen des juges, qui s'est autodésigné pour instruire ce dossier.

Dans cette affaire, le journaliste de Nice Matin (Nicolas GIUDICI) qui ne faisait que son travail en professionnel, a été assassiné et seul le juge Jean-Paul RENARD pourrait nous dire ce qui s'est passé.

Malgré cela, le quotidien Nice Matin a soutenu le juge corrompu Jean-Paul RENARD, en agressant le Docteur Rachid MABED au lieu de dire la vérité sur les éléments de son dossier judiciaire.

Cette affaire est invraisemblable !

A savoir que le juge cité dans cette affaire de pédophilie puisse mettre en place un dispositif illégal assurant, de facto, sa protection en pipant l'instruction de ce dossier.

Le juge Jean-Paul Renard tel un "Caïd" s'est comporté en truand de haut vol &à la barre de l'institution judiciaire Niçoise, en devenant Juge et Partie dans le dossier en question.

L'origine de l'affaire "MABED", unique dans les annales de la justice française, est que des notables mafieux Niçois, ont infiltré la justice pour faire taire un militant actif dans la défense des droits de l'homme.

Ce militant, le Docteur Rachid MABED, n'a eu de cesse de multiplier l'envoi de milliers de mailings tout azimut, de faire appel à la manifestation dans les rues de Nice et de créer un comité de soutien pour dénoncer des injustices islamophobes.

Il a dénoncé l'implication des autorité préfectorales, policières et judiciaires, dans les nombreuses agressions policières racistes récurrentes contre des algériens (27 affaires) dont un assassinat commis par arme à feu, dans le centre de rétention de la police nationale à Nice.

Monsieur Aberrahim LOUCIF, un constantinois né en 1955 en Algérie a été exécuté par balle dans le centre de rétention alors qu'il était détenu par la police Niçoise. Cette affaire fut étouffée par le procureur de Nice.

Rachid MABED a fait avorté l'incarcération de l'intellectuel Miloud BENCHIHA qui fut désigné à tort par la police nationale comme étant le chef des réseaux terroristes de la côte d'Azur.

Mais ce qui sera par la suite a l'origine de l'éxécution judiciaire de Rachid MABED, fut la dénonciation d'une affaire de pédophilie dont le juge mafieux Jean-Paul RENARD fut désigné comme bourreau d'une gamine de 5 ans par le père de l'enfant alors que c'est ce magistrat qui avait la charge de l'instruction dossier de pédophilie.

Rachid MABED avait alerter par mailing, tous les députés et tous les ministres de la république, constatant que sa démarche fut à l'origine du déclenchement d'une inspection des services judiciaires, elle même, à l'origine de la radiation définitive de la magistrature du doyen des juges Jean-Paul RENARD.

C'est suite à cette action républicaine militante que la garde des sceaux, Elisabeth GUIGOU, a relevé de ses fonctions le procureur Franc-maçon Zinhelt (proche du juge RENARD) en nommant à sa place le procureur Eric De Mongolfier.

En effet, Ce fut le début de la descente aux enfer du juge mafieux Jean-Paul RENARD qui pour se venger, déclencha sur le champ des réprésailles contre le Docteur Rachid MABED.

Ces notables racistes qui ont initié la dérive judiciaire sont le préfet Xavier DE FURST et le grand patron de la police nationale Pierre PETITJEAN qui avaient comme relai au cœur du Tribunal de Nice, le Juge Jean-Paul RENARD, le substitut du procureur Valérie COURTALON PORTE, le procureur de la république Jean-Jacques ZIRNHELT, la substitut Valérie COURTALON et la juge Christine LORENZINI (citée pour sa participation à des partouzes sexuelles en compagnie de notables condamnés pour trafic de stupéfiants).

Ce sont ces magistrats corrompus qui ont abusé de leur autorité pour mettre en examen le Docteur MABED Rachid sur une simple déclaration d'une reprise de justice condamnée pour traffic de stupéfiants à Nice et ils l'ont incarcéré avec non seulement, un dossier pénal vide de preuve mais malgré les 21 preuves de son innocence.

Il fut traduit devant une cour d'assises sur une simple déclaration de viol (dixit le procureur Eric De montgolfier publiquement) alors que toutes les précédentes plaintes déposées par la même personne pour harcélement sexuel avaient été classées sans suite parceque justement elles ont été jugées comme étant de simples déclarations.

Avec des documents falsifiés grossièrement, 21 preuves de son innocence et sans preuve matérielle ni témoignage direct mais sur une confusion orchestrée par une magistrature corrompue, le Docteur Rachid MABED a été jugé par une cour d'assises dont la désignation devenait de facto illicite.

Une décision basée sur du vide et qui fut validée par un juge voyou à savoir Yves LEBOURDON, président de la chambre d'accusation d'Aix en Provence (en 2000).

Du jamais vu dans aucune démocratie au monde !

Puis apprenant le soutien public apporté par le président de la chambre d'accusation d'Aix en Provence, le corrompu Yves LEBOURDON, au doyen des juge mafieux Jean-Paul RENARD, Il est une évidence, que celui qui était supposé gérer les anomalies du dossier pénal du Docteur Rachid MABED, puisse en devenir le bourreau.

Yves LEBOURDON, a valider tous les faux en éciture, toutes les anomalies d''instruction, tous les refus injustifés d'actes de procédure, toutes les partialités de la magistrature et toutes les violations en matière de droit qui ont affecté la procédure.

Le président Yves LEBOURDON a utilisé son pouvoir de justice comme une arme de réglement mafieux au point de faire des contrôles inverses en veillant à valider toutes les irrégularités de la procédure.

C'est à ce moment que la machine des injustices judiciaires s'est mise en route avec le soutien corporatiste de nombreux magistrats devenus aveugles et de facto, implicitement les complices dans cette corruption.

Cela explique l'implication de plusieurs dizaines de juges qui ont collaboré en association de malfaiteurs en bande organisée, pour satisfaire la décision mafieuse du président de la chambre d'accusation, YVES LE BOURDON.

Ce dernier a venger son ami, le doyen des juges Jean Paul RENARD que le Docteur MABED avait dénoncé par mailing, comme étant réellement impliqué dans une affaire de pédophilie alors que ce dernier avait la charge de l'instruction.

Cette instruction concernant le viol d´une enfant de 5 ans, était en cours au tribunal de Nice avec la particularité d´etre instruite par le juge designe comme pédophile et cela était inadmissible pour un fonctionnement normal de la justice !

Pourtant, Jean-Paul RENARD, a été reconnu comme étant, un mafieux et un corrompu, par l'inspection des services judiciaires du ministère de la justice, qui l'a définitivement radié de la magistrature.

Les ordres du président de Chambre à la cour d'appel, Yves LEBOURDON, aux présidents des Cours d'assises dont il est l'un des supérieurs, étaient claires: "Il faut manipuler les jurés pour obtenir la condamnation su Docteur Rachid MABED malgré un dossier vide suite à l'instruction qui a occulté son innocence et qui n'a trouvé aucune charge contre lui, pas preuve matérielle et pas le moindre témoignage concordant".

Il n'y avait RIEN DE RIEN!

Aujourd'hui, les faits sont accablants pour la justice française car la condamnation du Docteur Rachid MABED, n'a pas effacé les traces de la conspiration judiciaire, à un tel point que toutes les preuves sont disponibles pour faire comparaître devant une cour d'assises tous les magistrats corrompus qui ont comploté en bande organisée.

Trop d'anomalies, trop d'incohérences, trop de violations des lois et que de la partialité dans l'affaire criminelle du Docteur Rachid MABED.

Dans la procédure d'instruction, il y a eu de grâves contradictions étouffées, des documents trafiqués dont un certificat médical falsifié remis par la plaignante et que la justice a validé en connaissance de cause.

Le médecin traitant a déclaré devant les 2 cour d'assises, ne pas avoir reçu la plaignante le 05/12/1998 comme cela est indiqué sur le certificat médical portant le cachet de son cabinet et que ce document médical est un faux (La date de l'arrêt de travail commence le 05 décembre 1998 et se termine le 11 Mars 1998 au lieu du 11 Mars 1999).

Pour clore la monstrueuse manipulation des juges à avoir poursuivi le Docteur Rachid MABED pour un viol imaginaire, le médecin traitant de la plaignante a indiqué au parquet, que la plainte est mensongère.

En effet, durant la garde à vue, le Docteur Lysiane DELFOUR, a contredit sa patiente qui a affirmé sur procès verbal de police, que son médecin traitant lui a demandé de porter plainte pour viol.

Juste sur ce point précis, la justice n'aurait jamais dû valider le jugement d'assises mais le juge corrompu, Yves LE BOURDON, a pris le soin d'obtenir l'aide de ses collègues de la cour de cassation prouvant que la pièvre mafieuse de la magistrature, a de longues tentacules.

Que dit le code pénal sur le cas des justiciables confrontés à une juridiction de jugement ?

Le code pénal stipule qu'en cas de doute, ce doute doit impérativement profiter à l'accusé C'est à dire qu'il faut une preuve indiscutable pour faire condamner une personne devant un tribunal.

Non seulement, le code pénal a été ignoré par la magistrature corrompue de la justice française mais elle a balayé d'un coup d'impunité assurée au plus haut niveau de sa hiérarchie, les 21 preuves de l'innocence du Docteur MABED.

Ce dernier a été condamné aprés que les droits de la défense aient été bafoués et que les magistrats de la cour de cassation ait validé un certificat médical falsifié suite à une accusation aussi sale que l'est leur moralité.

Lorsque l'on dispose de tels preuves indiscutables qui accablent la magistrature françaises de corruption, nous nous interrogeons sur la crédibilité de cette France qui a donné des leçons en matière de justice au Méxique.

Aujourd'hui, il est impératif pour laver l'honneur de la justice française que ces nombreux magistrats puissent répondre de leurs actes mafieux devant une cour d'assises.

Ces juges corrompus qui ont bénéficié d'une impunité et ont commis un crime dans l'exercice de leur fonction, sont des justiciables comme nous tous et il doivent être confrontés aux preuves indiscutables de leur culpabilité.

Dans un pays de droit, les juges Yves LEBOURDON, Jean Michel MALATRASI, Dominique Alain BREJOUX, Christine LORENZINI, André RIBES, GILLES DUVAL, Eric DE MONGOLFIER, Valérie COURTALON PORTE et Jean PAUL RENARD, doivent être incarcérés.

Tous, doivent être poursuivis pour corruption active en bande organisée, violation des lois de la République, déni de justice, longue détention arbitraire d'un détenu innocent et pour manœuvre dans une procédure criminelle en vue d'orienter l'action de la justice pour la réalisation d'un attentat judiciaire.

Conformément à l'article 434-4 alinéa 2 du code pénal Français, est puni d'une peine de 5 ans d'emprisonnement et de 75000 euros d'amende, tout magistrat qui, par ses fonctions, fait obstacle à la manifestation de la vérité: de détruire, soustraire ou altérer un document public ou privé ou un objet de nature à faciliter la découverte d'un délit, la recherche des preuves ou la condamnation des coupables.(Lire I'article)

Conformément à l'article 432-4 alinéa 2 du code pénal Français à propos des abus d'autorité commis contre les particuliers, le fait par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public, agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, d'ordonner ou d'accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle consistant en une détention ou une rétention d'une durée de plus de sept jours, est puni de 30 ans d'emprisonnement de réclusion criminelle et à 45000 euros d'amende. (Lire I'article)

Si ces juges sont des justiciables comme tous les citoyens français et que par conséquent, les lois de la république peuvent leurs être appliquées alors la place de ces magistrats mafieux (la majorité est encore en fonction) est en prison pour 30 ans de réclusion criminelle.

" L'individu est handicapé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse, qu'il ne peut croire qu'elle existe ".
J. Edgar Hoover (1895-1972), Directeur FBI (1924-72)

Mise en examen abusive du Dr MABED Rachid

En guise de réglement de compte mafieux, le juge Corrompu Jean Paul RENARD (radié de la magistrature) fut derrière cette mise en examen abusive avec l'appui de son ami Yves LE BOURDON (président de la chambre d'accusation).

La mise en examen de Rachid MABED a été basée sur une simple déclaration sans preuve (Dixit la déclaration publique en Mai 2000 du procureur Eric De MONTGOLFIER) puis sa condamnation sans vérification, sont tellement grotesques et incongrues, que cela n'existe nulle part ailleurs.

C'est comme si devant les micros de télévision, un magistrat traitait une personne de couleur de "sale noir", un israélien de "sale juif" ou un maghrebin de "sale arabe" puis il viendrait légaliser une condamnation suite à une procédure régulière, pour outrage à magistrat.

Même à santiago du CHILI du Général Pinochet, en COREE du Nord de Kim Jong-il ou en BIRMANIE du Général U Thein Sein , la justice ne se permettrait pas de soutenir un complot aussi grotesque.

En France, le justiciable est pris en étau par une corporation de magistrats voyous, qui rendent volontairement des parodies de jugements que la cour de cassation valide aveuglément et en parfaite connaissance de la violation des lois républicaines.

Dans le silence de médias complices, le citoyen Lamda est trainé dans la boue, séparé de ses enfants, spolié de ses biens propres et de son argent.

Il est condamné sans preuve et cela pour satisfaire une association de malfaiteurs composée de magistrats, du préfet, de policiers, ... tous mafieux.

Plusieurs affaires viennent confirmer ces dérives judiciaires que le Français, non confronté à la justice, ignore superbement alors que ces dysfonctionnements se multiplient dangeureusement en France avec la complicité corporatiste des plus hautes autorités de la justice.

C'est le cas de l'ingénieur René FORNEY de Grenoble, propriétaire d'une villa sur terrain de 1800 m2 (valant 1.200 millions euros), de 2 appartements, d'un compte de 200.000 euros et que la justice Grenobloise a ruiné.

Depuis 2007, il vit de la solidarité (RSA), n'a plus de compte bancaire, réside dans un appartement sans electricité et sans gaz durant l'hiver.

Quand au Docteur en médecine, Michel PINTURAULT, il a été spolié de sa clinique sur la base d'un jugement de 1995 reconnu comme étant faux par le tribunal en 1998 et qui fait suite à la magouille de notables, (spoliation). Aujourd'hui, ce médecin est ruiné par la magistrature et sa vie est une galère.

Les contours mafieux de l'affaire du Dr Rachid MABED

L'instruction du dossier MABED a été supervisé par le juge corrompu Jean Paul RENARD (Radié de la magistrature) qui a été comdamné par la justice puis radié de la magistrature pour collusion avec la mafia Italienne.

Le Docteur MABED Rachid avait dénoncé massivement auprés de toutes les associations civiles et morales de France, l'implication du doyen des juges d'instruction Jean Paul RENARD comme étant impliqué dans une affaire de pédophilie dont il avait la charge de l'instruction.

Cette action militante déstabilisatrice, fut à l'origine de la réaction du garde des sceaux qui a nommé sur le champ, le procureur Eric De MONTGOLFIER, pour faire la lumière sur les dossiers nébuleux au parquet de Nice.

De ce fait, le magistrat Jean Paul RENARD ainsi que ses soutiens maçonniques mafieux ont été destabilisés ce qui a renforcé la volonté de détruire le Docteur MABED.

La juge d'instruction experte en consommation de drogue, Christine LORENZINI (cité dans une affaire de drogue avec consommation personnelle et participation à des soirées sexuelles libertines), qui avait été nommée par le juge corrompu Jean Paul RENARD pour l'assister, a démontré dans la continuité de cette iniquité judiciaire, que c'est la mafia en col blanc qui est le maître d'œuvre de l'islamophobie au Tribunal de Grande Instance de Nice.

Dés lors, le Doyen des juges jean Paul RENARD règle ses comptes avec le Dr Rachid MABED via la juge mafieuse Christine LORENZINI (encore en fonction) dont les nombreuses décisions illicites sont validées par le président de la chambre de l'instruction d'Aix en Provence, Yves LE BOURDON.

En effet, quelques années plus tard, l'amitié indéfectible, publiquement affichée par le président Yves LE BOURDON, à son frère Franc-maçon de la GNLF, le juge mafieux Jean Paul RENARD, vient confirmer définitivement la thèse du complot et non plus celle de l'erreur judiciaire de l'affaire MABED.

Dés lors l'ensemble des dizaines de violations manifestes des lois du législateur dans le dossier pénal de l'affaire MABED ainsi que celle les 21 preuves de l'innocence sur le fond, s'expliquent logiquement par la mise en place d'un puzzle hors la loi qui fut programmé par la mafia en col blanc dont faisait parti des magistrats de hauts rangs.

C'est tout naturellement que nous avons subi les exactions de juges hors la loi, qui ont agi en association de malfaiteurs en bande organisée mais qui furent implicitement protégés par le sommet de l'état Français que dirigent des hiérarques de la franc-maçonnerie Française.

Voila pourquoi c'est la droguée Christine LORENZINI qui fut désignée comme juge d'instruction, puisque son époux occupait la fonction de commandant de la police nationale sous les ordres directs du commissaire Pierre PETITJEAN, directeur départementale de la sécurité publique qui avait organisé l'assassinat raté du Docteur Rachid MABED.

De surcroît, le préfet Xavier De FURST, qui avait menacé ouvertement Rachid MABED avant son incarcération, faisait parti d'une fraternelle qui se réunissait avec ces 3 juges et d'autres notables racistes de la région.

Vous comprenez que nous sommes confrontés à une situation ubuesque où ce sont les notables délinquants qui incarcèrent un militant irréprochable qui a dénoncé avec preuves, des agressions meurtrières de la police nationale Niçoise.

Voilé la face cachée de l'affaire du Docteur Rachid MABED qui s'est retrouvé au coeur d'une conspiration digne d'un polar de fiction où la mafia qui tire les ficelles, est juge et partie.

La justice Française a engagé contre le Dr MABED une procédure pénale clairement mensongère en prenant le soin de masquer les violations des lois sur la forme juridique et avec un fond vide de preuve mais truqué par des magistrats corrompus qui sont au cœur du complot !

Que vive la France des Droits de l'Homme bafoués!

Si le Grand Maître de la Franc-maçonnerie, "Marcel La Salade", qui téléguidait de sa grande propriété niçoise, l'issue des procédures judiciaires moyennant des enveloppes pleines de sous, a été pris en flagrant délit de corruption, les juges ripoux qui le servaient continuent d'exercer, honorablement.

Ce n'est que logiquement que cet escroc a été condamné en première instance de jugement car le parquet était dirigé par le procureur Eric De MONTGOLFIER qui a joint les actes à la parole dans ce dossier.

Bien que les preuves accablaient "Marcel La Salade" qui a été interpellé avec une enveloppe pleine d'argent, que la victime a été identifiée et que sa femme a confirmé l'escroquerie, des magistrats l'ont relaxé devant la cour d'appel d'Aix en Provence où le président de la chambre d'accusation, Yves LEBOURDON est son frère de loge à la GNLF.

La république judiciaire est dans la gadoue grâce à ces magistrats d'influences dont des corrompus comme le juge Jean Paul RENARD (ami du juge mafieux Yves LEBOURDON qui est son frère de loge maçonnique), qui salissent la justice et implicitement, l'honorabilité de la Franc-maçonnerie.

Pour Rachid MABED, condamné sans preuve matérielle, sans éléments probants et sans témoignage direct mais juste sur une simple déclaration étayée de plusieurs contradictions qui furent camouflées par les magistrats corrompus agissant en bande organisée.

Ces juges voyous nous ont démontré qu'ils ont le pouvoir de salir en toute impunité, des innocents gênants l'ordre établi pour consolider le pouvoir d'une mafia locale dont ils font parti.

L'affaire Rachid MABED met clairement en exergue, l'infiltration de l'appareil judiciaire par une caste mafieuse qui se sert de magistrats ripoux, pour régler des comptes personnels.

Ils ont fait très fort en manipulant la sœur de Rachid MABED moyennant des avantages maçonniques qu'elle a acceptés et en obtenant la complicité de son avocat Khaled BOURAYOU du Barreau d'Alger, qui a sciemment trahi son client (de connivence avec Nadia MABED divorcée Arezki).

Ce cadre supérieur Algérien a été victime de ces pourritures en costume de notables qui agissent en propriétaire de l'appareil judicaire pour régler des comptes personnels via l'intervention de vrais magistrats corrompus jusqu'à la moelle épinière.

Cet attentat judiciaire a réussi grâce à la participation active des deux plus grands voleurs Algériens du siècle, à savoir l'assassin général LARBI BELKHEIR (alors chef de cabinet du président Bouteflika) et son complice/Beau-frère Hadj Mokhtar LOUHIBI (un facteur des PTT devenu multimilliardaire), qui ont bloqué l'intervention des autorités algériennes.

Ce sont ces deux comparses qui ont commandité l'assassinat du président de la république algérienne, Mohamed BOUDIAF.

Dans l'affaire Rachid MABED, la démonstration établie la complicité entre le procureur Valérie COURTALON et la juge d'instruction Christine LORENZINI qui furent soutenues jusqu'à la cour de cassation.

L'ensemble de tous ces magistrats a jeté l'honneur de la justice Française, dans la poubelle de l'humanité.

Valérie COURTALON née PORTE qui était substitut du procureur de Nice, est à l'origine du plus gros dysfonctionnement du siécle.

Le comble du ridicule, c'est que Valérie COURTALON a été décorée de la légion d'honneur malgré la dérive qu'elle a commise au nom du peuple français.

De facto, cette légion d'honneur française n'a plus de valeur morale.

C'est cette magistrate corrompue du parquet de Nice, Valérie COURTALON PORTE, qui a interpellé abusivement le Docteur Rachid MABED suite à une plainte précise de pédophilie sur Nora BOUDJEDRA, mineure de moins de 15 ans.

Comme ce délit s'est avéré mensonger alors, au lieu de le remettre en liberté immédiate, elle a prolongé la garde à vue pour fabriquer un délit imaginaire de viol sur la mère de cette petite qui ne pouvait pas mentir seule.

Même le procureur de la république de Nice, Eric De MONTGOLFIER, supposé être un incorruptible, a participé, personnellement et directement, de façon indigne à ce complot honteux qui porte atteinte aux droits de l'homme.

Nous avons la preuve indiscutable, que Eric De MONTGOLFIER a volontairement donné un coup de main à la mafia qu'il dénonçait dans les médias, pour faire condamner Rachid MABED alors qu'il l'avait publiquement et de vive voix, désigné comme étant un détenu innocent.

Abominable, Atroce, Effrayant, Horrible, Horrifiant, Inhumain, Odieux, Phénoménal, Repoussant, Terrible, Terrifiant, Epouvantable !

C'est tellement énorme, que l'affaire Rachid MABED vient de reléguer l'affaire DREYFUS au second plan. En effet, la dérive judiciaire raciste diligentée contre le militaire Dreyfus, trouve l'excuse de s'être produite à l'époque de la dictature en France.

Le complot antisémite contre le capitaine DREYFUS fut une iniquité au nom de la raison d'état en plein remous politiques majeurs, avec des témoignages mensongers, des magouilles et les lois de la république ont été violées outrageusement pour faire d'un militaire juif, le bouc émissaire de l'espionnage militaire.

Le Docteur Rachid MABED fut désigné comme violeur par des juges corrompus qui ont utilisé leur pouvoir régalien dans l'exercice de leur fonction, pour lui nuire.

Ils se sont autorisés à falsifier des documents de la procédure, a violer les droits de la défense, a refuser tous les actes de procédure à la défense aprés avoir violé les lois du législateur français.

La grossière conspiration judiciaire

Cette conspiration à l'origine de la condamnation islamophobe de Rachid MABED s'est basée sur une prétendue affaire qui était classée sans suite et ré-ouverte sans élément nouveau pourtant obligatoire, par des juges qui ont volontairement violé les lois de la république.

Derrière ce complot on trouve la juge Valérie COURTALON PORTE qui exerce prés du garde des sceaux, le Juge Jean Paul RENARD qui est radié de la magistrature pour collusion avec la mafia Italienne, la juge Christine LORENZINI confondue dans une affaire de drogue avec participation à des partouzes sexuelles et Le juge, encore un corrompu franc-maçon, Yves LEBOURDON qui n'a aucun respect des lois républicaines.

Pour le bras armé de la condamnation en qualité de président de cour d'assises, nous retrouvons le raciste corrompu Dominique BREJOUX qui n'est pas à sa première dérive et le salopard Jean Michel MALATRASI qui est actuellement président du tribunal de MEAUX.

Ces deux derniers juges nous ont laissé la preuve qu'ils ne sont que des crapules au service de l'ignominie et de l'injustice.

L'ensemble de ces magistrats dont le rôle fut déterminants, aidés de certains juges carriéristes que nous nommerons plus tard, ont travesti la réalité des faits, volé des pièces perquisitionnées, refuser de poursuivre une enquête sur des documents reconnus faux, menacé les avocats de la défense, coupé court à la confrontation durant le procès lorsque la plaignante était en train d'avouer ses mensonges et ont justifié le renvoi en cours d'assise par des contres vérités que les pièces du même dossier contredisent.

Mieux que cela, Rachid MABED a été condamné aprés avoir été traité de négrier (acte a été donné) puis clairement insulté par le président de la cour d'assises d'appel qui lui a demandé de fermer sa gueule et les Avocats ont fait un témoignage écrit.

La cour de cassation a confirmé qu'un juge a le droit d'insulter un justiciable et de le faire condamner en toute impartialité

De même, la jurisprudence de la cour de cassation nous prouve qu'en France, il est possible de falsifier un certificat médical, de s'en servir tranquillement devant un juridiction pénale qui a constaté cette fraude sans que les juges ne diligentent des poursuites.

La falsification de ce certificat Médical étant visible à l'oeil nu puisque la date de l'expiration de l'arrêt de travail, est antérieure à la date de départ de l'arrêt de travail et que, de plus, le médecin traitant supposé l'avoir délivré, a confirmé la fraude.

Nous avons la preuve que les juges de la cour de cassation siègent avec des mafieux.

Les juges Christine LORENZINI, valérie COURTALON, Yves LEBOURDON (Président de la chambre d'accusation), Jean Michel MALATRASI, Dominique BREJOUX, la cour de cassation et le procureur de la république de Nice, Eric De MONTGOLFIER, ont tous répondu que cela possible, juridiquement.

En effet, la justice accepte cette pièce falsifiée car elle servira la bonne cause, s'agissant de faire condamner un Arabe destabilant l'ordre établi.

Que vive la République Française dans ses dérives judiciaires légalisées !

C'est en toute logique que la juge LORENZINI Christine a refusé une demande d'acte de procédure visant à récupérer le certificat médical original auprés de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie, qui confirme que la plaignante a falsifié ce certificat médical et par conséquent que sa plainte est mensongère.

De surcroît, le substitut du procureur Valérie COURTALON ainsi que le procureur Eric DE MONTGOLFIER, ont catégoriquement refusé de poursuivre pour accusation mensongère, la fille de cette plaignante, mineure, Nora BOUDJEDRA, qui avait accusé à tort Rachid MABED de pédophilie.

En effet, la poursuite de cette mineure en correctionnelle aurait de facto démontré la complicité de sa mère Hadjer DRIDI, qui, une fois l'accusation de viol de sa fille, tombée à l'eau, vient à son tour, accuser Rachid MABED de l'avoir violée.

Pour cela, Hadjer DRIDI fourni à l'appui de sa plainte de viol comme élément nouveau justificatif de la relance de sa précédente plainte de harcèlement sexuel classée sans suite par le parquet, le fameux certificat médical dont la falsification est reconnue par le medecin traitant supposé l'avoir délivré.

De plus, nous publierons, les six pièces officielles de l'innocence de MABED Rachid, qui sont contenues dans le dossier de l'affaire dont des PV de police et un compte rendu d'un expert agréé par la cour d'appel d'Aix en provence.

Ces documents mentionnent que, sur déclaration Hadjer DRIDI, reconnait que Rachid MABED (désormais condamné définitivement par une justice spectacle) ne l'a jamais violé.

Quelle autre preuve de l'innocence de Rachid MABED, fallait-il à la justice ?

Sur simple constatation de ces preuves irréfutables occultées volontairement par la juge Christine LORENZINI, nous pouvons dire que ce magistrat est soit une malade mentale qui doit être vite soignée et éjectée du corps judiciaire ou alors, c'est une corrompue mafieuse qui viole sciemment les lois de la république avec une certitude sur son impunité, assurée.

Prenons un autre exemple qui illustre la panoplie de l'injustice et l'impunité de ces abus de pouvoir qu'a validé le procureur de la république de Nice, Eric De MONTGOLFIER :

Rachid MABED a été poursuivi sans preuve et sur simple dépôt de plainte classée sans suite et ré-ouverte sans élement nouveau, pour harcèlement sexuel contre une employée renvoyée de son travail, pour avoir jeté volontairement sur la moquette de la javel.

Rachid MABED a été condamné pour harcèlement sexuel contre cette employée virée pour faute professionnelle grave alors qu'il n'y a eu aucune confrontation obligatoire, ni devant la juge d'instruction, ni devant l'officier enquêteur de la police judiciaire.

De plus, il n'y a pas eu de confrontation durant le procès puisque la plaignante était absente devant la cour d'assises présidée par jean Michel MALATRASI et qu'elle était encore absente lors de la cour d'assises d'appel présidée par Dominique BREJOUX.

Le pire est que cette plainte pour harcèlement sexuel avait été classée sans suite par le vice procureur de la république, pour délit non caractérisé et que quelques temps plus tard, son substitut Valérie COURTALON née PORTE, l'a ré-ouverte sans élément nouveau alors que c'est une obligation juridique.

Voilà comment Rachid MABED a été condamner sans confrontation obligatoire, sans vérification aucune et en se contentant d'une simple plainte mensongère déposée qui avait été classée sans suite.

C'est la preuve que tous les magistrats impliqués dans le dossier Rachid MABED, y compris les juges de la cour de cassation, ont uriné sur le code de procédure pénale, ont craché sur le code pénal, ont déféqué sur les lois de la république tout en bafouant, monstrueusement, les droits de la défense.

De façon évidente, les magistrats malhonnêtes qui ont participé volontairement à ce dysfonctionnement, sont des mafieux et de grands voyous.

Cette dérive judiciaire a été concrétisée à tous les stades de la procédure avec la participation de plusieurs magistrats dont les juges Eric De MONTGOLFIER, Gilles DUVAL et Valérie COURTALON née PORTE (parquet de Nice), André RIBES (Avocat général de la cour d'appel de Draguigan), Christine LORENZINI et Jean Paul RENARD (Juges de l'instruction à Nice), Yves LEBOURDON (Président de la chambre d'accusation qui a tout confirmé pour l'instruction et qui a tout rejeté pour la défense), Jean Michel MALATRASI (Président de la cour d'assises de Nice dont la magouille va être démontrée), Dominique Alain BREJOUX (Président de la cour d'assises d'appel de Draguigan, qui a insulté Rachid MABED en audience MABED), ceux qui ont confirmé devant la cour de cassation (Les noms seront prochainement inscrits)et les vrais corrompus de la cour européenne des droits de l'homme (Les noms seront prochainement inscrits).

Avec cet énorme dysfonctionnement programmé, la mafia judiciaire nous illumine de son impunité et elle nous informe faire de nous ce qu'elle désire en nous interpellant de la sorte:

- " Nous, magistrats de la République Française...
Comme au temps de la Gestapo et du régime de VICHY,
Nous avons le pouvoir Au Nom du peuple Français,

de vous piller (30.000 euros donnés à la plaignante),

de vous déshonorer car vous avez refusé d'être interné (accusation d'atteinte aux mœurs et internement abusif raté puis annulé par la cour administrative),

de vous salir sans preuve (condamnation pénal injuste) , de vous séquestrer en légalisant notre magouille (détention arbitraire),

de vous déporter car notre tentative d'assassinat a échoué (interdiction à l'innocent, Rachid MABED de voir sa mère handicapée en région PACA) et cela en violant ouvertement les lois de la république sachant que nous sommes protégés dans nos dérives et qu'on vous méprise.

La justice c'est nous car avec la puissance de nos réseaux, nous controlons le système judiciaire à tous les stades de la procédure.

Vous avez constaté que nous avons calmé le procureur de la république, Eric De MONTGOLFIER, qui désormais se tait et il s'est rangé derrière nous, en nous aidant dans l'exécution de la phase finale de notre cabale judiciaire contre Rachid MABED.

Par conséquent, nous vous conseillons de fermer votre gueule (déclaration faite par le président Dominique BREJOUX, devant témoins en cour d'assises à l'attention de Rachid MABED en toute impunité), faute de quoi nous remontrons une nouvelle cabale contre vous, pour vous punir ".

C'est effarant de constater que, de plus en plus de magistrats, se donnent le droit de s'attribuer la quasi "propriété" de disposer de la vie des justiciables, en imposant des jugements irresponsables conforment à leur volonté de nuir et en restant serein sur d'éventuelles poursuites disciplinaires que, normalement, générerait la violation des lois de la république dont ils sont coupables.

Voilà l'anomalie française qui favorise les dérives judicaires dont les magistrats se délectent car il n'y a aucune procédure fiable pour juger de la responsabilité des juges.

Le président Nicolas SARKOZY a eu complétement raison de vouloir faire voter par le parlement une loi sur la responsabilité des magistrats.

Les loges maçonniques s'y sont opposées et pour cause, il faut protéger ses brebis galeuses qui font des affaires illégales ...

Pourtant, la loi prévoit que la démonstration faîte durant l'audience, sur la partialité d'un président d'une cour d'assises en charge d'un dossier pénal, ne peut en aucun cas donner lieu à la validation par la cour de cassation, du jugement rendu par ce magistrat.

Les insultes claires et prouvées qui ont été proférées en toute impunité pendant l'audience, par Dominique BREJOUX, Président de la cour d'assises d'appel de Draguignan, ont constitué un motif indiscutable de cassation.

La mafia niçoise prend possession de l'appareil judiciaire pour faire condamner un militant qui dérange

INTRODUCTION

La côte d'azur devait être nettoyée de la population musulmane dont la religion est jugée non compatible avec la culture de la société occidentale, par ce chef de la police nationale qui s'est vanté, publiquement, d'avoir fait ses classes militaires en Algérie coloniale. De plus, Rachid MABED est devenu un trublion très remuant qui dénonçait régulièrement certains dysfonctionnements au sein du service des étrangers de la préfecture des Alpes Maritimes.

En douceur et sous l'impulsion du directeur de la sécurité publique des Alpezs Maritimes, Pierre PETITJEAN qui baignait dans l'impunité totale, les autorités policières développaient en catimini, un petit apartheid islamophobe mesquin avec plusieurs volets pour une réelle marginalisation des musulmans, que personne n'a osé rendre public.

La politique du front national de Jean Marie LEPEN qui dénonçait démocratiquement (non mafieusement) l'accès à la nationalité française des émigrés et que la France républicaine vomissait, a trouvé un relai puissant au sein de l'autorité policière en la personne de Pierre PETITJEAN.

L'objectif sournois de ce chef de la police, fut de mettre en avant le serment de la profession pour faire condamner devant les tribunaux, le maximum de musulmans sur la base de motifs fallacieux d'outrages à fonctionnaire de police ou de délits fictifs, afin de les empêcher définitivement d'avoir accès à la nationalité française voire de les faire légalement expulser.

De surcroît, ce fut la chasse aux jeunes nés sur le sol français et proche de leur majorité, pour qu'ils aient un casier judiciaire aussi minime soit-il mais suffisant afin que leur demande de nationalité soit implicitement rejetée.

Pour chacun des abus policiers ou préfectoraux, Rachid MABED a envoyé des centaines de courriers à destination de toutes les institutions civiles et morales de France.

Il a organisé une manifestation dans les rues de Nice pour dénoncer l'assassinat de M. LOUCIF dans les locaux de la police et il a contribué à la création d'un comité de soutien efficace pour demander la libération immédiate de M. Miloud BENCHIHA de la prison de la santé où il croupissait pour un délit de terroriste sans preuve.

En parallèle, Rachid MABED a été interviewé sur ce sujet par les journalistes de la télévision locale de France 3 et il a harcelé quotidiennement le cabinet du juge antiterroriste Bruguière.

C'est comme cela que le juge antiterroriste, Gilbert Thiel, a rapidement libéré Miloud BENCHIHA dont l'ingratitude ultérieure jette un sérieux regret sur l'intervention efficace de Rachid MABED et nous laisse avec des questions sans réponse.

L'intellectuel économiste Miloud BENCHIHA a eu la malchance de porter le même nom que l'un des Emirs du GIA algérien et cela était suffisant à la DST pour le désigner comme coupable et montrer au ministre de l'intérieur que leurs services font du bon boulot.

Pourtant, Ce fut la libération de Miloud BENCHIHA qui humilia la DST à Nice et c'est à ce moment que le Docteur MABED a été menacé par le Préfet Xavier de FURST et par M. PANTALACCI (nom excat ?) de la DST et surout par le patron de la police, le voyou Pierre PETITJEAN.

Ce directeur de la police a organisé l'assassinat raté du Docteur Rachid MABED pour couvrir les mafieux qu'il a engagés et empêcher qu'une plainte ne soit déposée au commissariat de police.

Pour les autorités locales xénophobes, ce fut l'action de trop de ce militant dérangeant l'ordre établi. La multitude d'actions menées par Rachid MABED devenant insupportable, les autorités xénophobes ont déclenché le plan Hors la Loi qui consiste à agir en dehors des règles de droit.

Désormais, l'éloignement de Rachid MABED du microcosme niçois, est devenu un impératif pour ces notables voyous faute de voir leur politique raciste dévoilée nationalement au grand jour.

Il faut donc, mettre un terme aux actions dévastatrices de ce militant, qui dévoilait les agressions policières gratuites, l'assassinat couvert en suicide et qui empêchait le nettoyage ethnique de ces envahisseurs musulmans, désignés comme responsable de l'insécurité.

De surcroît, les dénonciations répétitives de Rachid MABED, ont été à l'origine de certaines enquêtes des services de la police des polices dont l'une fut directement diligentée à l'encontre de Pierre PETITJEAN qui a, par la suite, été confondu dans ses atteintes aux droits de l'homme.

C'est ainsi que nous retrouverons à la tête des barbouzes, Monsieur le commissaire Pierre PETITJEAN, qui va impunément utiliser les moyens de la mafia qu'il est supposé combattre.

Dans un premier abus de pouvoir du patron de la police nationale, Pierre PETITJEAN a fait interné en hôpital psychiatrique Rachid MABED et ce, avec l'aide direct du puissant chef de cabinet du Préfet, Xavier De FURST qui s'est fourvoyé dans une magouille d'une bassesse sans pareil.

Le lendemain de son hospitalisation, Rachid MABED a repéré le médecin du service psychiatrique qui obligatoirement complétait le puzzle mafieux sans quoi l'internement aurait été refusé.

Pour ne pas être impliqué, ce médecin hospitalier fut absent lors de l'internement mais il a pris le soin de laisser des consignes strictes à une interne psychiatre qui les a appliquées, bestialement.

Cette stagiaire a automatiquement interné Rachid MABED en lui posant la seule et unique question, devant une armada d'infirmiers: "Voulez vous accepter la piqure ou faudrait-il vous y contraindre par la force ? ".

Par conséquent et sans difficulté, Rachid MABED a, immédiatement, été piqué dés son arrivée au service psychiatrique qui a, automatiquement, confirmé son internement.

Deux jours plus tard , lors de la visite matinale, ce médecin mafieux n'a pu cacher sa joie puisqu'il déclara spantanément à Rachid MABED: "Si vous avez de la chance vous sortirez dans 3 mois".

Ce fut un choc énorme! Prévu pour un long terme, cet internement n'a duré que 11 jours car un réel expert psychiatre, remettra immédiatement en liberté Rachid MABED en lui faisant le commentaire suivant :
"Que faites-vous ici ? ".

La libération de Rachid MABED du service psychiatrique, a pris de court le commissaire Pierre PETITJEAN et le Préfet mafieux Xavier De FURST, qui vont alors sortir la grosse artillerie criminelle.

Des éléments de preuves indiscutables vont démontrer que le directeur départemental de la sécurité publique, Pierre PETITJEAN, a mis un obstacle personnel pour couvrir l'assassinat raté de Rachid MABED, ce qui démontre son implication direct.

En effet, le 14 Mars 1998, armé d'un 357 magnum, un repris de justice (c'est certain) a subitement fracturé la porte d'entrée du cabinet de gestion et a raté sa tentative d'assassinat laissant derrière lui de nombreux indices. Le commissaire Pierre PETITJEAN a tout couvert et pour cause ...

Nous avons la preuve que nous sommes avec de vrais assassins qui n'ont aucune considération de la vie humaine et qui sont reçus au sein du microcosme locale comme de respecteux notables.

Malgré le traumatisme de Rachid MABED du à cette tentative de liquidation physique, la mafia locale en costume de notable, va accélérer le processus de destabilisation pour atteindre son objectif.

Les lois de la république vont continuer à être outrageusement bafouées par des autorités sensées les faire appliquer respectueusement, à savoir par le chef de cabinet du Préfet des Alpes Maritimes, Xavier De FURST, et le patron de la police nationale, Pierre PETITJEAN.

Ces derniers ont usé de leur influence au sein de l'appareil judiciaire dont faisait partie les magistrats, Valérie COURTALON, le juge Jean Paul Renard et l'épouse du subordonné du patron de la police nationale, Christine LORENZINI, se protégeant les uns des autres avec le soutien aveugle d'une corporation, pour fabriquer un coupable criminel.

D'une violation de loi à une autre, la machine judiciaire parallèle s'est mise en route avec un puissant corporatisme, pour faire aboutir une procédure mafieuse sur la base d'un délit imaginaire digne des plus grands films de fiction.

Pour exécuter le projet mafieux, la juge Christine LORENZINI a jeté dans la poubelle de son cabinet d'instruction, les lois de la république, faisant d'une fiction incroyable, la vérité judiciaire.

Dans un excès de zèle incroyable, une tenue provoquante que l'on voit surtout dans les clubs privés, une arrogance inimaginable et une vindicte intempestive, une énorme assurance à violer les droits de la défense, la juge Christine LORENZINI fera subir à Rachid MABED, une parodie de justice et un châtiment, pire que les exactions de la dictature de Santiago du Chili du général PINOCHET.

Pour pousser au suicide Rachid MABED, Christine LORENZINI se mettra en contact avec la direction de la prison pour lui mettre une pression supplémentaire et le faire régulièrement sanctionné au point où il sera abusivement jeté dans un cachot dans le noir 23 heures sur 24 heures, durant un cumul insupportable de prés de 4 mois.

La juge LORENZINI Christine qui avait fait encadrer sur le mur de son bureau une feuille de cannabis et la photo de Bob MARLEY, a été citée par des notables niçois, qui l'ont impliquée dans une affaire de drogue avec sa participation à des soirées chaudes.

Pourtant deux personnes dont un chirurgien-dentiste, ont porté des accusations claires et précises, à l'encontre de la juge Christine LORENZINI.

Dans ce dossier, le Docteur en stomatologie, mis en examen pour trafic de drogue, fut étonné que la page de son carnet où le nom de cette juge apparaissait comme cliente pour consommation de drogue, ait disparu du dossier pénal.

Il suffisait de procéder sur le champ à une analyse de sang du juge Christine LORENZINI, pour confirmer qu'elle a bien consommé de la cocaïne et du cannabis, puis de faire citer quelques témoins des soirées chaudes et immédiatement l'incarcérée.

Mais nous savons aujourd'hui que les juges ont toutes les protections corporatistes, tous les droits y compris ceux de baigner impunément dans la délinquance.

Les peines prononcées contre les brebis galeuses de la magistrature dans des affaires graves ou contre le doyen des juges Jean Paul RENARD, est un indice d'encouragement en faveur de la violation des lois de la république.

Pour collusion établie avec la mafia Italienne et consultations illicites des fichiers informatiques voir des supposés non lieux abusifs, Jean Paul RENARD n'a pas fait un jour de prison alors que ce même doyen des juges n'a eu de cesse de jeter en prison pour des mois, de petits voleurs à la tire ou de bicyclettes.

Aujourd'hui, les juges Christne LORENZINI et Jean Paul RENARD, ont sali le casier judiciaire de Rachid MABED qui ne s'est jamais drogué, qui n'a jamais commis de délit de sa vie et qui possède une moralité plus intégre que la leurs alors que ces juges conservent un casier judiciaire vierge.

Tant que la responsabilité des magistrats ne sera pas clairement votée par le parlement avec un conseil de discipline indépendant de tous, y compris des initiés aux fraternelles ou aux associations sous influences occultes, la justice française continuera de détenir le premier prix de la poubelle de l'Europe judiciaire.

C'est en toute logique que les abus de pouvoir de Christine LORENZINI sont restés impunis et cette juge a bénéficié du retour d'ascenseur mafieux grâce aux services rendus à cette mafia locale, par l'incarcération injuste de Rachid MABED.

Le père de son enfant qui est commandant de la police, le directeur de la police nationale, Pierre PETITJEAN qui est fier de son relai au sein du tribunal, Xavier De FURST qui jubile dans sa loge d'obédience de la mise en détention de Rachid MABED, le doyen Jean Paul RENARD qui a été confondu à la protéger officiellement, ont tous pris le soin de ne pas faire apparaitre Christine LORENZINI dans la procédure pénale pour trafic de stupéfiants.

Voilà comment on laisse la juge Christine LORENZINI poursuivre sa fonction alors qu'elle est accusée de délinquance par des notables avec preuve et non pas par des voyous.

Nous relevons qu'en général, les juges ont déjà crédibilisé les accusations portés par des délinquants entre eux mais pour le magistrat, Christine LORENZINI, cela n'est pas recevable malgré la personnalité des notables accusateurs et des preuves que l'on a pas cherché a vérifier.

Le garde des sceaux a immédiatement déclenché une enquête de ses services judiciaires qui a été enterrée grâce à l'appartenance de Christine LORENZINI à un réseau occulte noble qui pourtant, devrait vite s'en débarrasser sachant que ces obédiences prônent généralement, la probité professionnelle, l'honnêteté, un débat d'idées démocratiques, antiracistes et des aides philanthropiques.

Que les réseaux de la franc-maçonnerie n'aient pas hésité à faire jouer le corporatisme pour défendre les intérêts des pires de ses membres dont les dérives du juge Christine LORENZINI, justifiera dans le futur d'une révolte populaire contre ce mouvement affairiste qui sera plus perçu comme un danger pour la démocratie que comme une association phylantropique.

C'est ce sentiment d'impunité qui explique l'instruction à charge de la juge Christine LORENZINI qui n'autorisera aucune demande d'acte de procédure, violera les droits de la défense par des auditions semblables à un cirque d'animaux tout en s'imposant dans la procédure en toute illégalité.

Nous détaillerons comment sur simple déclaration sans preuve, Christine LORENZINI va introduire dans le dossier MABED, des harcèlements sexuels bidons dans le but de noyer le dossier et faire valoir un viol imaginaire qui ne tient sur aucune preuve ni semblant de réalité.

Elle va menacer Rachid MABED, puis ses premiers avocats avant de s'attaquer au valeureux et homme d'honneur, Maître Kambiz HECHMATI, directement et par de fortes pressions du bâtonnier de l'ordre des avocats.L'objectif de faire condamner Rachid MABED pour le discréditer définitivement puis l'éloigner de la région PACA, va réussir grâce à la participation en douce du procureur Eric DE MONTGOLFIER qui va faire un beau cadeau à son ennemie jurée, Christine LORENZINI.

En effet, si Rachid MABED avait été acquitté, il est plus que certain que le juge LORENZINI Christine, ne serait plus en fonction car il ne s'agit pas d'une erreur d'appréciation du juge mais d'une violation volontaire des lois de la république pour faire aboutir le plan mafieux.

Si Valérie COURTALON peut se cacher derrière l'erreur de jugement, la juge Christine LORENZINI, a volontairement servi les voyous et ce, en crachant sur son serment ainsi que sur les règles élémentaires du droit français.

Encore aujourd'hui, Eric De MONTGOLFIER peut se rattraper pour partir en retraite la tête haute, faute de quoi l'affaire Rachid MABED le poursuivra au-dela de sa retraite.

Le procureur peut facilement entendre Mme Hadjer DRIDI (pseudo-victime et condamnée pour trafic de drogue à Nice) qui va sur le champ libérer sa conscience sachant que Rachid MABED sait qu'elle est la seconde victime de ce complot.

En effet, les accusations de Hadjer DRIDI étant préscrites, personne ne peut lui faire croire qu'elle risque la prison et Rachid MABED certifie sur l'honneur qu'il ne portera jamais plainte contre elle.

Voila comment Hadjer DRIDI que les manipulateurs ont utilisé comme une imbécile pour régler des comptes par musulmans interposés, alors qu'elle n'est pas bête mais qu'elle s'est fait avoir par Mme Liliane CASSINI, comme elle l'a déclaré de vive voix à Nadia MABED.

Le Procureur sait que Hadjer DRIDI profitera de l'audition pour régler ses comptes avec ceux qui se sont moqués d'elle et qui lui ont imposé à elle et sa fille, des moments penibles de justice. Eric De MONTGOLFIER aura-t-il le bon sens de partir propre et sans polémique ?

Lors des deux sessions de la cour d'assises, Mme Hadjer DRIDI a tenu a dire qu'elle voulait retirer sa plainte durant l'instruction.

Elle a confirmé que c'est le manipulateur hypocrite, Mohamed MABED (petit comptable gérant de AGENCE SOPH ORGANISATION CONSEIL), qui a été le premier à lui faire des menaces d'incarcération pour qu'elle maintienne ses accusations mensongères.

Ce dernier n'a pas pu expliquer son intervention alors qu'il n'y avait aucun conflit avec Rachid MABED qui n'a eu de cesse de l'inviter à manger et à boire aux hôtels dont il était le directeur.

Pourquoi ce pic assiette qui venait régulièrement déjeuner et souper, gratuitement à l'Hôtel est devenu un caniche obéissant du despote et voleur, Hadj Mokhtar LOUHIBI ?

Pourquoi as-t-il trahi Rachid MABED alors qu'il venait de participer avec lui au comité de soutien pour faire libérer Miloud BENCHIHA et qu'il avait déposé spontanément dés le début de la cabale, un témoignage positif devant le juge d'instruction ?

C'est Rachid MABED qui lui a rafraichi la mémoire à savoir que derrière Mohamed MABED, se cachait le dictateur, Hadj Mokhtar LOUHIBI qui avait l'habitude de monter des dossiers d'opposants politiques pour emprisonner ses ennemis Algériens comme René BOUSQUET ou Maurice PAPON, le faisait pour la Gestapo.

Aucun magistrat n'a voulu approfondir la volonté de Hadjer DRIDI, de retirer sa plainte alors que c'était une des clés du procès.

Qui peut citer le cas d'une femme réellement violée, qui a déposé une plainte devant la justice contre son manager qui ne la connait pas en dehors du travail et qui a voulu retirer sa plainte ?

Les personnes violées ont tellement mal qu'elles ne retirent jamais leur plainte.

Le but de la juge LORENZINI Christine en collaboration dans l'instruction avec le juge RENARD, fut de condamner un innocent en menaçant de prison la plaignante illétrée prise au piège d'une manipulation judiciaire ?

Enfin, ces voyous de la république à l'origine de cette cabale mafieuse, ne pouvaient pas réussir leur coup sans l'aide occulte du minable Hadj Mokhtar LOUHIBI qui a été intégré dans la franc-maçonnerie sans que la loge n'ait tenu compte de son passé sulfureux et de sa richesse malhonnête.

Hadj Mokhtar LOUHIBI est l'ancien consul général de Nice, grand amateur d'alcool sans limite, grand despote qui n'accepte jamais la contradiction, bafouant régulièrement les droits de l'homme et viré par la Grèce de son poste d'ambassadeur au bout de 6 mois suite à l'intervention de Rachid MABED.

Nous expliquerons les détails de sa personnalité.Hadj Mokhtar LOUHIBI qui fut magasinier dans le dépôt du centre d'agriculture de Bel Abbes en 1963.

Cela est normal car il n'a aucune instruction même pas son certificat d'Etudes primaire, sinon l'entre gens et le bagout, commun aux escrocs.

Il se présente comme autodidacte et se vante de ne pas avoir son certificat d'études primaires.Il a occupé le poste de directeur générale de O.A.I.C (Affaire de l'O.A.I.C) où il y a eu environ 26 milliards de dollars détournés dans la fin des années 70 (soit plus de 100 milliards d'aujourd'hui).

Hadj Mokhtar LOUHIBI est devenu subitement multi-milliardaire et il a participé activement à la condamnation de Rachid MABED, par ses relations directes avec le microcosme politique et judiciaire niçois.

Entre autre, il s'est servi son esclave veule et dévoué, le servile niçois, Mohamed MABED originaire de Blida (Algérie).

Le Beau-frère du général LARBI BELKHEIR qui occupait le poste de directeur de cabinet du président Bouteflika, le franc maçon Hadj MOKHTAR LOUHIBI a bloqué l'intervention diplomatique algérienne sans quoi, jamais cette affaire n'aurait pu prospérer.

Pourtant la comuanuté juive qui invite officiellement Hadj Mokhtar LOUHIBI, au repas du CRIF, devrait faire des recherches sur le journal El-moudjahid des années 74 pour écouter tout le bien que ce dernier pensait de la communauté juive, qu'il cotoie fraternellement.

aujourd'hui. Nous profitons de cet espace pour rendre hommage à l'ancien Président de la République Algérienne du Haut Comité d'Etat, Monsieur ALI KAFI dont le cabinet et l'entourage personnel, ont toujours défendu les droits des cadres supérieurs algériens, victimes de ce genre de magouilles judiciaires.

La même cabale avait été montée quelques années auparavant par cette même police avec l'implication directe de Hadj Mokhtar LOUHIBI et du consul en poste, Mohamed BENYOUCEF mais la présidence de la république algérienne sous l'autorité de M. Ali KAFI, a vite réagi car le Général LARBI BELKHEIR, ne tenait pas les rênes de la présidence de la république.

Il est regrettable que l'Etat Algérien ne s'implique davantage diplomatiquement dans la défense des ressortissants Algérien lorsqu'ils sont bafoués dans leurs droits.

Les magistrats craignent énormément les interventions politiques de la diplomatie étrangère lorsqu'il s'agit d'une vraie dérive judiciaire qui risque de porter atteinte à leurs carrières.

COMMENT L'AFFAIRE MABED A PU ETRE ENCLANCHEE ?

Nous venons de vous révéler les comparses de cette conspiration qui, publiquement, sont perçus comme des notables respectables et qui ont fait croire à un délit pénal de droit commun ordinaire.

Seulement, les pièces officielles du dossier de Rachid MABED et les atteintes aux droits de l'homme non contestables dont se sont rendus coupables ces comparses puisqu'il y a eu mort d'homme, ne laissent aucun doute à leur double personnalité mafieuse.

Maintenant que le puzzle de la cabale est reconstitué, nous allons vous présenter le cahier des charges pour la réalisation, étape par étape, de ce projet mafieux qui avait pour but l'élimination de Rachid MABED du microcosme niçois.

Commençons par énumérer les moyens qui ont été nécessaires pour la réussite de cette cabale.

Avec le poids du patron de la police Pierre PETITJEAN, de la préfecture de Xavier De FURST, du dictateur Hadj Mokhtar LOUHIBI soutenu à Alger par son beau-frère le général Larbi BELKHEIR, le juge Jean Paul RENARD et les réseaux mafieux impliqués, la démarche est établie, comme suit :

1- Le mobile à l'origine de la conspiration est décrit avec précision, ci-dessus à savoir que la police doit absolument écarter même par assassinat, Rachid MABED du département des Alpes Maritimes.

2- Les relais mafieux au sein de la magistrature qui ont été placés, sont identifiés.
C'est sous la houlette du doyen des juges Jean Paul RENARD que le juge Christine LORENZINI s'est senti protégée pour nuire en toute illégalité au Docteur MABED. La mafia est rassurée ...

Preuve fut faîte de la magouille car le juge LORENZINI s'est battue avec acharnement, pour conserver le Dossier Rachid MABED. Naturellement, elle ne pouvait être que la seule au monde, à trouver des arguments qu'elles a inventés, pour faire d'un innocent, un coupable.

3- L'assurance de la non intervention de la Présidence de la République Algérienne fut assurée par le Hadj Mokhtar LOUHIBI (Le modeste petit fonctionnaire devenu multimilliardaire) via son beau-frère le Général Larbi BELLKEIR qui a détruit l'Algérie et pillé ses ressources,

4- Le consulat d'Algérie a bien été muselé et le consul Monsieur Kamel Ali KHODJA qui a reçu froidement Rachid MABED avant son incarcération, aurait pu mettre un terme à la conspiration.

Rachid MABED l'avait informé des magouilles que préparait Pierre PETITJEAN et de son internement mafieux, mais le consul qui est un parent par alliance de Kamel DJILALI (un ami de Rachid MABED), n'a pas bougé le petit doigt.

5- L'infiltration du minable (Khobziste, arriviste) Mohamed MABED, dans le cercle proche de Rachid MABED, a réussi. Ce dernier a joué le role essentiel sans quoi, l'affaire serait vite tombée à l'eau.

Aujourd'hui, Hadj Mokhtar LOUHIBI qui est trés mal vu en Algérie, ne pourra pas lui être utile si ce n'est que de lui remmettre une petite pièce de monaie qui satisferait bien ce radin.

6- Il a été découvert qu'une reprise de justice travaillait dans l'hôtel où Rachid MABED occupe le poste de directeur, que son compagnon officiel est aussi un repris de justice donc que le chantage serait facile pour une Tunsienne illétrée à qui on fera signé n'importe quoi.

7- Le journal Nice Matin, toujours disposée à soutenir la police nationale par le biais du pseudo Journaliste, Didier CHALUEAU, a publié un torchon de saleté pour appuyer la police qui lui donne en retour de petit scoops de compensation. Nice Matin a par la suite été condamné par la cour d'appel.

8- Comme l'affaire a défrayé la Chronique en Algérie, une conférence de presse a été organisée par Nadia MABED, soeur de Rachid qui a trahi son frère, avec la participation de Monsieur Belaid METREF, ancien chef de cabinet de Chadli BENDJEDID.

Lors de cette conférence, Rachid MABED a été désigné par sa soeur, comme l'ennemi de tous les généraux de l'armée algérienne et le tour fut joué de maître, pour justifier de la non intervention de l'Etat Algérien dans ce dossier.

Nadia MABED a eu la récompense de pouvoir intégrer une loge maçonnique féminine.

9- Le Doyen des juges, Jean PAUL RENARD, a prévenu son ami intime, Franc-macon de la GLNF, Yves Le BOURDON qui occupe le puissant poste de Président de la chambre d'Accusation d'Aix en Provence.

Cette chambre d'accusation fut la pièce essentielle du complot pour couvrir les violations de la loi, maintenir le juge instructeur en charge de dossier en toute illégalité, désigner une cour d'assise pour un délit fictif sans preuve, refuser la liberté provisoire à Rachid MABED pour qu'il ne se défende pas, valider le faux certificat médical clairement falsifié, introduire des harcélement sexuels bidons dont l'un sans confrotation et l'agresser en pleine audience avec impunité.

10- La brebis galeuse qui déshonore la Franc-maçonnerie, Christian ROUSSEL, responsable du syndicat des hôteliers de Nice qui a introduit dans le dossier, son épouse, avocate.

11- Liliane CASSINI (domiciliée à Nice), propriétaire des 2 hôtels dont j'étais le directeur. Nous lui réservons plusieurs pages spéciales en fin de travail qui démontrera au peuple Nicois que nous sommes en présence d'une mafieuse, d'une voleuse et d'une corrompue.

Etre riche ne donne aucun gage d'honnêteté et nous vous démontrerons que c'est par son carctère truand et mafieux, que Liliane Anna Catherine CASSINI née GIORNI, est devenue riche.

12- Enfin, cette conspiration n'aurait jamais pu être validée par la justice, si Eric De MONTGOLFIER n'avait pas donné son accord pour la condamnation.

Remarque

Enfin, sans être contre la franc-maçonnerie, il est surprenant de voir que l'ensemble des personnes impliquées dans ce complot, ont une appartenance maçonnique.

Cela confirme le fait que lorsque l'on doit régler un compte à une tiers personne, la solidarité criminelle maçonnique, agit aveuglement même lorsque le frère est l'agresseur.

Il faut toujours soutenir un frère maçon en difficulté même si ce dernier pille les biens d'autrui ou de couvrir son abus de pouvoir manifeste, en jetant des innocents en prison.

Sur la côte d'Azur, les Francs-macons ne se soucient pars de porter atteinte au droit de l'homme mais le devoir est de soutenir des frères même si la cause est injuste.

Ou sont les débats d'idées positifs, les aides maçonniques philanthropiques, les soutiens aux causes justes ... ?

Nous ne cessons d'espérer que le ménage sera fait dans les loges maçonniques et que l'on mette un Holà à l'affairisme, à l'initiation des mafieux de la magistrature, de la police ou des despotes et voleurs comme Hadj Mokhtar LOUHIBI dont la richesse provenant d'Algérie, relève du vol.

La suite claire comme l'eau de roche, vous sera expliquée ci-dessous. Cliquez sur Affaire du Dr Rachid MABED

La justice sert aux aux mafieux pour régler un compte personnel.

Innocent, un militant actif pour la défense des droits de l'homme qui a dénoncé de nombreuses exactions policières, a été jeté en prison pour un crime fictif suite à une combine police-justice.Cette manipulation a débuté dans l'illégalité totale par une instruction octroyée à un magistrat conjointe d'un commandant de la police nationale, sous les ordres directs de son Directeur départemental, le commissaire Pierre PETITJEAN,

Ci-joint la plainte du plus grand patron de la police contre RACHID MABED qui, avant son incarcération, avait transmis au cabinet du Ministre de l'intérieur, vingt sept cas d'agressions policiers sur des Algériens, puis aprés son incarcération une lettre qui lui rappelle son islamophobie invétérée et qui est publiée ci-dessous.
En premier ressort, M. MABED avait déposé une plainte hiérarchique à l'encontre de M. Pierre PETITJEAN, ancien Directeur Département de la Sécurité Publique des Alpes Maritimes et le Ministre de l'intérieur a déclenché une enquête des services qui a donné lieu à un procès verbal établi par la police des polices.
Voilà comment une instruction inique, orientée uniquement à charge, initiée puis gérée à distance par les services de la police nationale comme au temps du régime de Vichy, a abouti à une parodie de justice qui s'est soldée par une comparution rocambolesque devant une cour d'assises.
C'est avec de multiples violations de la loi et les droits de la défense bafoués, que M. MABED a été condamné par des magistrats dont le coup de grasse a été porté par un bourreau insolent, qui est connu pour ses idées Front National.
Bien que ce Président de la cour d'Assises d'appel qui avait le devoir d'impartialité, ait insulté M. MABED en pleine audience avec mention de cet acte dans la procédure, la cour de cassation n'a pas cassé le jugement.
Le pire est que ce président de la cour d'assises d'appel, a été juge et parti dans la procédure dans la mesure où il était en procès avec M. MABED suite à une plainte pénale déposée contre lui avant l'audience ce qui a donné lieu à un procès en chambre correctionnelle après l'audience. Nous réserverons un chapitre sur ce magistrat qui a supervisé le dossier RACHID MABED avec la publication des pièces justificatives tant sur ses abus de pouvoir manifestes en sa qualité de président de la cour d'assises d'appel de Draguignan, que sur son procés devant les chambres correctionnelles en sa qualité de prévenu.
Comment peut-on crédibiliser la condamnation rendue par une cours d'assises constituée de personnes manipulables, sans aucune expérience, parfois jeunes ou sans instruction, impressionnés par de rusés magistrats expérimentés qui peuvent les travailler au corps en partageant avec eux, les pauses avec boissons et petits fours durant plusieurs jours ?
Qui peut dénoncer un président de Cour d'assises qui aurait traité de criminel l'accusé dans le secret des délibérations, qui aurait forcé des jurés à suivre son indication ou qui aurait refait le vote jusqu'à ce qu'il obtienne la condamnation voulue ?
Dans ces conditions que la loi impose, nous constatons qu'être un proche d'un président de cours d'assises, c'est être certain de bénéficier d'un acquittement et cela nous laisse perplexe sur l'absence de contrôle qui peut laisser la porte ouverte à une éventuelle corruption dans la magistrature d'assises.
En effet, après la condamnation abusive et illicite, en cour d'assises, le président de cette cour d'assises a été cité devant le tribunal correctionnel pour insultes, menaces et propos racistes mais le corporatisme des magistrats l'a protégé d'une façon scandaleuse au point d'empêcher M. MABED d'assister au procès qu'il a initié pour la vérité. La presse locale a annoncé que cette procédure fut une première judiciaire en France sachant que jamais un président de cour d'assises n'a été cité pour son comportement illicite en cours d'audience. Même dans les républiques bananières, une telle magouille judiciaire pour protéger un violeur des lois républicaines dans l'exercice de sa fonction, ne peut être réalisable, ouvertement et sans gêne.

Dans une autre affaire et comme l'a si bien déclaré devant un tribunal correctionnel l'avocat Parisien Alex URSULET (qui a eu un différent grave avec ce même président de cour d'assises), même a Santiago du Chili durant la période de dictature du général Pinochet, cela n'a pas été vu.

A l'origine, le vrai crime du Docteur Rachid MABED est d'avoir dénoncé 27 bavures policières dont un assassinat par arme à feu tire sur la nuque d'un sans papier Algérien dans le centre de rétention de Nice, une affaire de pédophilie dans laquelle était cité par le père de l'enfant, le doyen des juges d'instruction qui avait la charge du dossier pénal (qui a été radié de la magistrature depuis) et un grave raté de la DST.

Quelques semaines avant cette affaire montée de toutes pièces, le directeur de cabinet du Préfet des Alpes Maritimes, M. Xavier De FURST a menacé de représailles M. MABED qui l'a cité en cours d'assises mais ce dernier n'a pas eu le courage de venir à la confrontation. De la menace à l'acte, la cour administrative d'appel de Marseille a été amenée à annuler un abus de pouvoir de ce directeur de cabinet qui a hospitalisé d'office et sans expertise, M. MABED et ce, avec la complicité de son épouse qui était directrice des affaires sanitaires à la préfecture de Nice. Les hiérarques membres d'une fraternelle dénoncée par la presse locale lors de l'arrivée du procureur Eric de Montgolfier, pensaient jeter facilement en hôpital psychiatrique M. MABED pour s'en débarrasser et continuer sa politique d'exactions vis à vis des Arabes sur la côte d'Azur.
Ce fut une pratique mafieuse niçoise avec la collaboration active de la police qui reçoit des ordres d'une préfecture qui, au moment de l'affaire, a été désignée par France 3 comme étant la préfecture la plus raciste de France. Comme de vrais démocrates, ce couple De FURST, nous a enseigné l'abus de pouvoir avant de lâcher la police aux trousses de M. MABED comme au temps des rafles de la GUESTAPO. La chasse aux sorcières a débuté au TGI de Nice où une reprise de justice condamnée pour trafic de stupéfiants a servi d'alibi pour éliminer un homme au casier judiciaire vierge mais qui avait déstabilisé le système xénophobe de la nomenklatura niçoise. Fort de son impunité et probablement de la puissance de ses réseaux occultes, ce directeur de Cabinet du Préfet des Alpes Maritimes, a été promu Préfet en Outre-Mer ou la population a demandé par la suite son départ...
Voilà dans quel contexte, Monsieur Rachid MABED va être menacé directement sur son portable par des autorités importantes du département de Nice.
En premier, c'est le patron de la DST locale qui a contacté M. Rachid MABED pour lui indiquer son mécontentement suite à son action efficace pour obtenir la libération de M. Miloud BENCHIHA qui avait été incarcéré pour une supposée affaire de terrorisme.
Dans la conversation qui n'aurait jamais dû avoir lieu, la menace de ce chef de la sécurité, a été claire et précise. Puis, ce fut au tour du Directeur Départemental de la sécurité publique de Nice, M. Pierre PETITJEAN, qui devant témoin et avec un sourire ironique a déclaré à M. MABED que lui aussi aime les femmes alors qu'aucune accusation n'avait encore eu lieu.
De cette accusation ironique prémonitoire, ce Directeur de la police est vite passé à l'acte par des exactions sous forme d'abus de pouvoir incroyable au point où M. MABED va vivre différentes injustices inqualifiables dignes d'un roman de fiction.
La galère pour M Rachid MABED va commencer avec une violence terrible qui démontre que ces mafieux avec des costumes de notables qui ont pignon sur Rue, ne plaisantent pas puisqu'ils ont carte blanche au point de faire jouer la puissance de leurs relations avec la mafia locale.
En Janvier 1998, M. MABED reçoit dans son bureau un nouveau chef d'une entreprise qu'il faisait travailler pour différents travaux de maçonnerie pour des clients de son cabinet de gestion et qui était intervenue au sein de l'hôtel dont il était le directeur.
Quelle fut sa surprise lorsque cet homme tira de sa poche une grosse enveloppe pleine de billets de banque en lui déclarant que cet argent est une commission pour les travaux effectués à l'hôtel.
Immédiatement M.MABED s'est fâché, lui a demandé de reprendre cette enveloppe tout en lui expliquant que s'il voulait lui faire un geste commercial, il pouvait le faire gracieusement par de menus travaux au sein des hôtels.
Plus tard, cet individu a été identifié comme étant un policier qui a infiltré l'entreprise pour pouvoir discréditer définitivement M. Rachid MABED.
La première tentative de déstabilisation mafieuse ayant échouée, les notables sous l'apparence de respectables démocrates, vont utiliser l'internement psychiatrique pour solutionner ce qui constitue pour la pérennité de leurs exactions xénophobes, un vrai problème.
Le 23 Février 1998, alors que M. MABED s'est calmement rendu au commissariat de police pour dénoncer des détournements de fonds au sein des hôtels dont il avait la responsabilité, la police l'a interné avec une facilité impressionnante et sans aucun respect des règles de droit.
Cette séquestration mafieuse prévue pour durer des mois n'a duré que 11 jours grâce à l'intervention énergique d'un conseil qui a déclenché une expertise effectuée par un psychiatre probe, ce qui de facto, a forcé la mafia locale a trouver un autre moyen de répression. Cette séquestration sera détaillée et montrera que les mamelles françaises de liberté, égalité fraternité, ont atterri dans un espace particulier de la république, règne des privilèges, des passe-droits, de l'opacité, du favoritisme et de l'injustice.
Face à ce nouvel échec, le feu vert a été donné pour la solution finale non pas celle de l'utilisation de la chambre à gaz "antisémite" mais celle de l'exécution Islamophobe d'un innocent qui est perçu comme étant le petit caillou introduit dans la chaussure de ces mafieux niçois. Le 14 Mars 1998, un homme armé d'un 357 magnum (arme du milieu niçois), a tenté d'assassiner M. MABED dont le parcours honorable ne justifie pas qu'il vive une pareille situation mais la mort n'a pas voulu de lui.
Nous verrons dans ce qui suit, que le blocage de la police pour que cet homme ne soit pas retrouvé, prouvent inéluctablement que cet individu est protégé par le patron de la police.
Il apparaît que plus les autorités locales notent que leurs actions mafieuses n'ont pas abouties et plus ils s'acharnent dans leur projet d'éliminer du microcosme locale, M. MABED.
La haine à l'égard de ce militant déstabilisant l'ordre établi, étant tellement tenace que ces notables qui se voient protégés par une impunité arrivent à oublier le principe fondateur de la démocratique française à savoir le strict respect des lois de la république.
Il a été décidé de sortir la grosse artillerie qui a sûrement déjà été utilisée à l'encontre de pauvres innocents inconnus et qui consiste à intégrer dans cette conspiration antirépublicaine, la justice.
M. Rachid MABED est désigné comme pédophile puisqu'il a été accusé de viol sur une petite fille de 14 ans mais cette accusation est tombée à l'eau lors de la garde à vue du fait de son emploi du temps chargé qui a confondu la petite menteuse dans ses accusations fallacieuses.
Comme cela a pris de court les conspirateurs alors le lendemain de cette garde à vue, au lieu de libérer M. MABED, ce dernier a été accusé de viol sur la mère de la menteuse, femme de chambre dans un hôtel dont il était le directeur.
Cette employée avait été virée après que M. MABED ait appelé la police nationale car elle avait volé une gourmette en or dans une chambre de l'hôtel.
Nous verrons dans ce qui suit, que lorsque M. MABED l'avait virée de son travail 6 mois plus tôt, cette femme de ménage Tunisienne avait déposé une plainte pour harcèlement sexuel en précisant qu'il n'y a jamais eu de viol, (le PV de police est publié ci-dessous).
De surcroît, M. MABED avait donné ses explications sur ce harcèlement imaginaire , à un officier de la police judiciaire qui a vérifié que la police nationale a été appelée pour faire partir cette femme de chambre et le parquet de Nice à classé sans suite cette plainte, évoquant une déclaration non fondée.
Comment expliquer que 6 mois plus tard, le même parquet a déclaré recevable cette plainte de viol basée sur une simple déclaration de cette femme dont la plainte de pédophilie de sa fille à charge venait juste de tomber à l'eau alors qu'il n'y a eu aucun élément nouveau et que M. MABED n'a plus rencontrée cette employée depuis sa précédente plainte jugée abusive ?
Aujourd'hui, Quel magistrat de la république française, peut nous expliquer, comment est-il possible de classer sans suite une plainte de harcèlement sexuel pour manque de preuve et de poursuivre 6 mois plus tard la même personne sans élément nouveau mais uniquement sur la base du même dossier avec la particularité que la plaignante a aggravé le motif de sa plainte ?
Le substitut du procureur, Mme Valérie PORTE COURTALON, à l'origine de cet énigme, endossera pour toujours la responsabilité d'avoir abusé de son pouvoir pour incarcérer un innocent, détruire une famille et confisqué l'avenir de deux enfants dont le plus doué est devenu délinquant à cause de cette séquestration habillée par une procédure légale.
Voilà comment, un père de famille irréprochable, travailleur et engagé pour la défense des droits de l'homme, est subitement devenu un criminel qui aurait développé avec un retard considérable, des instincts pervers de violeur à l'âge de 45 ans. Le problème est que cette plaignante ne sait pas quel jour exactement elle a été violée. Dans un premier temps, elle a évoqué le 04 décembre 1997 puis le cabinet d'instruction ayant constaté que l'emploi du temps de RACHID MABED contredisait cette date alors elle a rectifié au 05 décembre 1997 en variant dans l'heure exacte. Le comble est que le président a empêché RACHID MABED de la confondre dans ses mensonges en coupant court à la confrontation en cours d'assises alors que nous avons la preuve concrète suite à des déclarations de la plaignante qui sont mentionnées sur plusieurs documents officiels que son directeur l'a viré le 05 novembre 1997 et qu'il ne l'a plus revu depuis cette date. De plus, à cette date du 05 novembre 1997, il a fallu appeler la police pour que Mme Hadjer DRIDI quitte l'hôtel ce qui donne une indication explicite sur la conscience tranquille de RACHID MABED. Cependant la plaignante déclare être à son poste de travail le 5 décembre 1997, jour de présumé viol, alors qu'elle avait été virée devant témoin le 04 novembre 1997 et que ce jour là, elle ne pouvait pas administrativement travailler du fait qu'elle était recensé sur le registre de la CPAM qui lui versait une allocation maladie. Trouvez l'erreur ? Cette femme de chambre déclare avoir été violée dans un hôtel alors qu'il est reconnu que ce dernier était fermé pour travaux, qu'il n'y avait aucun témoin direct, aucune trace ADN ni sur ses vêtements ni sur elle, pas de griffure sur le corps alors qu'elle parle de violence, qu'elle a présenté un certificat reconnu officiellement comme falsifié (publié ci-dessous) et que sa plainte intervient 6 mois plus tard. Allez expliquer cela aux magistrats qui ont eu la charge du dossier MABED !
Il s'agit d'un film mafieux de fiction à la sauce sicilienne, que la magistrature a activé en toute impunité au TGI de Nice, qui jette le discrédit sur toute la corporation et surtout sur une cours de cassation qui est désignée comme étant la cour suprême de l'état de droit français .
C'EST LE DÉNI DE JUSTICE PAR EXCELLENCE !
Dans les semaines qui ont suivies la tentative d'assassinat, M. MABED va être incarcéré sans aucune preuve, sans élément matériel, sans test ADN qui lui a été refusé, avec des déclarations contradictoires à plus d'un titre et malgré des preuves irréfutables de son innocence inscrites sur documents officiels mais volontairement masquées par les instances de la justice.
Pour parfaire le complot, la police a jeté M. MABED en pâture sur la place publique par la publication de sa photo dès sa garde à vue sur le journal Nice Matin qui l'a présenté comme un pervers sexuel alors que son casier judiciaire était vierge.
Sa condamnation sur la place publique s'est faite avec la participation active du juge Christine LORENZINI ou sinon, avec son indulgence car l'impartialité de ce juge a été jeté dans la poubelle de son cabinet d'instruction sachant qu'aucune poursuite n'a été diligentée pour sanctionner ce délit ou pour poursuivre ceux qui ont violé le secret de l'instruction.
M. MABED a fait condamner le journal Nice Matin pour violation de la vie privée mais les 2 officiers de police ou la juge qui auraient violé le secret de l'instruction en déballant sur la place public des contre-vérités, ont bénéficié d'une complète impunité.
Nous sommes tous indignés par l'image scandaleuse de Dominique STRAUSS KAHN aux États Unis alors que cette pratique de violation des droits et de la mise en détention immédiate sans preuve pour un cadre supérieur au casier judiciaire vierge, est régulièrement appliquée en France dans un système d'accusation à l'américaine.
C'est ce système accusatoire qui était appliqué aux Arabes et aux musulmans en général sur la Côte d'Azur, contrairement au système français qui était appliqué avec précaution uniquement aux stars, aux notables, aux riches et à tous ceux qui font partie d'un réseau d'influence.
Par exemple, l'accusation de viol à l"encontre de Johnny Halliday comportait au départ des nombreux documents qui pouvaient fortement présumer de sa culpabilité et des témoignages directs qui confirmaient le crime.
Johnny n'a pas passé une nuit en garde à vue ni même en prison et cela est bien, car plus tard les témoins ont retrouvé une meilleure mémoire pour le disculper.
Contrairement à cette décision émanant du même tribunal, M. Rachid MABED a passé 2 nuits en garde à vue sur simples déclarations faites par une même famille manipulée, dont l'une de ces accusations est reconnue mensongère sur le champ, et il a été immédiatement incarcéré sans aucune preuve.
C'est avec une facilité déconcertante que les magistrats justifiaient à Nice, de la mise en détention automatique de cette catégorie d'accusés à savoir qu'ils évoquaient automatiquement, un risque aléatoire de trouble à l'ordre public ou le risque imaginaire de pression sur la victime et ce, sans se soucier du casier vierge de ces sous êtres humains coupables de ne pas rentrer dans la bonne case.
Nous passons outre, la présomption d'innocence bafouée dont se targuent de respecter les magistrats et l'ignorance du choc psychologique de l'incarcération d'un proche sur sa famille et ses enfants que l'on considèrent sans humanité.
A la suite de cette incarcération immédiate qu'aucun magistrat ne peut justifier même avec effet rétroactif, M. MABED n'a plus revu ses 2 enfants depuis 1998 alors qu'ils sont majeurs aujourd'hui.
La plaignante avait déjà été condamnée pour trafic de stupéfiants et renvoyée de son travail pour vol mais cela n'a pas attiré l'attention des magistrats qui voulaient à tout prix utiliser l'institution judiciaire comme outil pour ce qui est un simple règlement de compte.
Nous avons eu droit à l'instruction uniquement à charge dans le cadre d'une affaire spectacle qui a abouti à une incroyable injustice.
Au TGI de Nice, le dossier de M. MABED sait chapeauté par le doyen des juges d'instruction, M. Jean Paul RENARD, qui par la suite a été radié de la magistrature pour sa proximité avec la mafia italienne.
Pour garder un œil sur ce dossier, ce doyen a pris le soin de désigner son amie et protégée (une affaire ultérieure a démontré cela), Mme Christine LORENZINI, pour instruire à charge uniquement et manifester ouvertement sa haine à l'égard de M. MABED.
Deux ans plus tard, les évènements rattrapent cette magistrat puisqu'elle a été désignée comme ayant participé à des soirées chaudes avec des notables niçois qui venaient d'être impliqués dans un trafic de drogue et qui ont menacé, de vive voix, le doyen des juges de divulguer publiquement qu'elle est leur cliente.
De façon médiatique, nous avons appris qu'une enquête du Ministère de la justice a été diligentée sur les liens du juge Christine LORENZINI avec ces notables délinquants mais avec le temps et comme de coutume, l'affaire a été tassée.
C'est cela la justice française qui permet à cette juge de continuer sa mission normalement après avoir violé les règles élémentaires de déontologie, de droit, bafoué la présomption d'innocence, menacé de vive voix un innocent, menacé de poursuite pénale son avocat et fréquenté des notables infréquentables qui ne pouvaient pas la citer sans l'avoir au moins rencontrée.
Le respect du droit pénal est le dernier des soucis de ce doyen des juges puisqu'il a été démontré qu'il a reçu les notables délinquants dans son bureau, sans greffière pour un entretien privé hors cadre légal ce qui est déontologiquement réprimant, éthiquement choquant et formellement interdit par la loi.
Voilà dans quel contexte, le Docteur Rachid MABED a été mise en examen puis en détention, en violation de la présomption d'innocence et des garanties importantes qu'il présentaient.
Le dysfonctionnement de la justice niçoise a été validée par un relais corporatiste digne des plus grands réseaux occultes, jusqu'à la cour de cassation via la cour d'appel d'Aix en Provence et ce, dans le silence complice des médias et des plus hautes instances judiciaires du Ministère de la Justice Française dès 1998.
L'Avocat de Monsieur Rachid MABED a été fermement menacé par le bâtonnier de l'Ordre des Avocats de Nice, Bernard DELSOL, et par la juge en charge de l'instruction, de se retirer de sa défense faute d'être traduit devant une chambre correctionnelle.
Maître Kambiz HECHMATI dont il s'agit et qui a remis à son client les preuves écrites de cet abus de pouvoir que nous Publions ci-joint

Pourtant, il a été reconnu que la juge Christine LORENZINI, est en couple avec un commandant de la police nationale qui est sous les ordres directs de M. Pierre PETITJEAN qui a déposé une plainte contre RACHID MABED. C'est à juste titre que Maître Kambiz HECMATI a introduit une requête en récusation du juge devant la chambre de l'instruction et qui a été rejetée illicitement, après avoir reconnu la liaison entre le juge et le policier. C'est un Déni de justice doublé d'une violation de la loi car, dans ce cas précis, la vie privée du juge d'instruction intéresse bien Maître HECHMATI, puisque sa situation conjugale porte atteinte au droit de la défense comme cela est prévu par la loi en vigueur.

Elle est surprenante cette intervention inappropriée du Bâtonnier de l'ordre des Avocats qui ne doit jamais se mêler du fond des dossiers et qui vient soutenir la juge d'instruction alors qu'il a été élu pour défendre les intérêts des avocats de son barreau.