Le juge valide un faux en écriture et masque les preuves de l'innocence
L'avocat de la partie civile demande au président un huis clos pour ce pseudo viol sans preuve, sans témoignage, sans preuve matérielle, sans connaitre la date excate du viol ni l'heure exacte puisque ca change à chaque audition, sans aucune contradiction de la part du Dr rachid MABED alors que la plaignante majeure s'est contredite plus de 20 fois..
Pire que cela, la plaignante a remis à la justice un certificat médical de viol falsifié par la plaignante et sans que la juge d'instruction n'ait ordonné des recherches sur l'origine du faux.
Encore plus grave, l'instruction mafieuse a étouffé l'origine d'une précédente accusation de viol contre le Docteur MABED de la fille mineure de 14 ans de la plaignante, reconnue mensongère par la justice.
Si le président MALATRASI avait un brin d'honnêteté, il avait l'obligation dés le début décider du report de l'audience afin de diligenter un complément d'instruction obligatoire face à ces annomalies qui discréditent totalement l'accusation.
Non seulement, il ne l'a pas fait mais bien que la loi l'y oblige, Jean Michel MALATRASI a couvert une accusation de pédophilie reconnue mensongère par la justice mais aussi un faux en écriture publique qui aurait jeté la plaignante pour des années en prison.
Vous verrez que durant les débats, la partialialité de ce juge était courante et que le juge MALATRASI a autorisé un acte mafieux réprimable par la justice pour empêcher le Docteur Rachid MABED de se défendre.
Nous y reviendrons avec précision ci-dessous.
Cependant, les 20 preuves indiscutables de l'innocence du Docteur Rachid MABED conjuguées à la partialité honteuse ainsi qu' à la magouille ouverte du président Jean Michel MALATRASI, démontrent que ce juge est un mafieux et que sa place n'est pas dans un tribunal mais dans une cellule d'une prison française..
L'impunité des magistrats ne pouvant être éternelle et nous souhaitons une procédure pour relancer l'affaire MABED car ce qui s'est passé à Nice dans le silence des médias algériens étouffé par la discrimination réprimable de ce magistrat, relève de la voyoucratie.
Le président MALATRASI décide d'un huis clos qui lui permettra de faire une attentat judiciaire sans témoin car l'assistance était énormement présente à cette affaire après que le journal Nice matin ait annoncé le déroulement d'une affaire sensible.
En effet, le 10 Mai 2000 et face à une salle comble, le Procureur Eric De Montgolfier a pris la parôle pour se dire étonné que le Docteur Rachid MABED soit incarcéré sur la base de simple déclaration qu'il fallait faire vérifier à la barre.
Le procureur Eric De Montgolfier venait d'un revers de manche, balayer une instruction à charge qui avait pour but de faire condamner un innocent en reconnaissant que la mise en examen de Rachid MABED n'était pas fondée juridiquement.
Spécialisé dans les procés tronqués, Jean Michel MALATRASI a ignoré les propos du procureur De Montgolfier car il est venu avec l'esprit mafieux identique à celui des 2 juges amis corrompus, Christine LORENZINI et Jean Paul RENARD, qui ont menés une instruction mafieuse.
Le procés va donc commencer sur la base de la poursuite de l'instruction menée à charge par cette magistrature d'instruction pourrie jusqu'à la moeille épinière (précisions dans la page réservée au juge Christine Lorenzini).
Ce huis clos est décidé implicitement par le président MALATRASI sans discussion et Rachid MABED s'interrogeait une première fois sur son avocat BOURAYOU Khaled qui n'a rien déclaré.
L'avocat Khaled BOURAYOU, dévoilait peu à peu, sa connivence avec le président de la cour d'assises.