La République des magistrats ripoux est en marche
En france, les magistrats fonctionnent dans un système de protection réciproque, se couvrant les uns des autres de leurs dysfonctionnements, ce qui génére implicitement la corruption des juges.
Il est une évidence que lorsque la justice jette en prison un innocent, qu'elle ne peut jamais revenir sur son erreur du moment ou c'est tout un bloc hermétique de magistrats qui auront à répondre de cette dérive judiciaire.
Les juristes ont publié sur ce sujet, expliquant que le verdict d'acquittement en cour d'assises est perçu comme le désaveu du procureur à l'origine des poursuites, du juge d'intruction qui a envoyé l'accusé devant une juridiction de jugement et surtout de tous les magistrats de la chambre d'accusation qui ont validé la procédure y compris l'avocat général qui a contribué à ce dysfonctionnement.
Sachant que dans un dossier complexe, plusieurs juges d'instructions se succèdent, que plusieurs procureurs viennent à se prononcer sur ce dossier, sur un nombre considérable de demandes de liberté rejetées parfois à tort et que les magistrats sont nombreux à se succéder devant la chambre de l'instruction, c'est toute une corporation de magistrats qui seraient mis en cause par le peuple et la hiérarchie judiciaire.
Eric DUPONT-MORETTI, avocat pénaliste, relate qu'une présidente de cour d'assises à l'origine d'un acquittement, a pleuré et qu'un président d'une cour d'assises ainsi qu'un avocat général, se sont fait remonter les bretelles par le premier président de la cour d'appel du Nord suite à un acquittement.
Le premier président de la cour d'appel est le magistrat qui peut renouveler le président de la cour d'assises à son poste comme il peut, s'il le déçoit, lui retirer définitivement ce poste de cour d'assises pour lui donner une autre tache dans le ressort de la cour d'appel.
C'est cette pression malsaine qui constitue le pilier déclencheur de toutes les dérives judiciaires sachant que l'issue du verdict décide de la poursuite de la tache du président de la cour d'assises devenu acteur du procés et non plus un juge arbitre neutre.
Cela confirme que c'est le corps de la magistrature qui pousse à valider l'influence totale des présidents de cours d'assises afin qu'ils ne laissent aucune liberté aux jurés à décider d'un verdict d'acquittement.
C'est cette influence légalisée par la hiérarchie générant de facto une forte impunité aux magistrats, qui pousse à la corruption de magistrats qui rendent parfois des verdicts incompréhensibles.Nous nous posons la question de l'acquittement devant la cour d'assises des Alpes Maritimes en 2000, d'un braqueur (qui a des sous) et qui a tué un policier alors qu'en premier ressort il avait écopé de 25 ans de réclusion criminelle.
Son avocat Michel CLERGE s'est avéré proche et complice du président de la cour d'assises qui l'a aquitté, Jean MICHEL MALATRASI.
Ce fut aussi le cas rapporté par l'accusé lui même, qui a été condamné à 15 ans de prison par Dominique ALAIN Brejoux pour avoir tué et sodomisé sa victime atrocement avec un manche a balai enfoncé jusqu'aux intestins et avec la circonstance agravante de l'avoir fait en bande organisée.
Nous avons découvert que l'avocat du criminel barbare, était aussi l'avocat personnel, du président de la cour d'assises Dominique Alain Brejoux (connu officiellement pour avoir tronqué des procés d'assises) et que cette proximité venait ajouter un trouble à l'accusation.
15000 Euros de verser en espèces, en plus des honoraires ... vrai ou faux (déclaration en prison du bénéficaire de ce jugement scandaleux) alors que cet assassin méritait au minimum une condamnation à perpétuité avec une sureté de 22 ans.La condamnation d'une clémence incroyable, rendue par la cour d'assises qualifiée par ses verdicts, de plus sévère de France lorsqu'elle est présidée par le juge Domminique BREJOUX, ne peut que confirmer que de l'Argent liquide a été réellement versé. Le verdict restera une honte pour la justice lorsque l'on constate que ce même président, Dominique BEJOUX, a manipulé un jury pour faire condamner, sans preuve, le militant innocent Rachid MABED, à 12 ans de réclusion criminelle.Cette cour d'assises présidée par le corrompu Dominique BREJOUX, a rendu Pratiquement la même peine entre l'assassin barbare connu des services de police et le Docteur Rachid MABED au casier judiciaire vierge dont la condamnation ne s'est basée sur aucune preuve matérielle ni témoignage ni preuve concordante. Rien !
Dominique BREJOUX doit être poursuivi afin d'être traduit devant une cour d'assises pour corruption dans le cadre de sa fonction car sa place est en prison. Sinon la justice c'est de la Merde ...