Un assassinat judiciaire commis par une juge au dessus des lois
En cliquant sur le résumé de l'affaire du Dr Rachid MABED où apparaissent 21 preuves de son innocence, le lecteur sera choqué par l'inertie de cette juge d'instruction mafieuse durant plus de 2 ans de son instruction baclée.
Elle était tellement sûre de son coup et de son impunité, qu'elle n'a pas bougé le petit doigt pour essayer de camoufler son attentat judiciaire programmé par une mafia dont le patron de la police nationale qui était le supérieur hiérarchique direct de son compagnon avec lequel elle a eu une progéniture.
Elle n'a accepté aucun acte de procédure, aucune confrontation directe avec la supposée victime seule à seule dans son cabinet comme la loi le prévoit et elle a créé des harcélements judiciaires fictifs moyennant des pseudo confrontations avec 12 personnes groupés dans son cabinet comme dans un cirque.
Lors de la première convocation de Rachid MABED et dans une tenue provocante où ses seins étaient à moitié dévoilés, elle a menacé l'avocat de la défense ouvertement parce que, ce dernier lui a rappelé qu'elle évoquait une affaire dont un non lieu a été prononcé.
Elle n'a pas hésité à ménacé Maître HESHMATI de le traduire devant la chambre correctionnelle s'il poursuivait la défense de Rachid MABED et qu'il insistait à réclamer des documents disparus.
Le comble est que cette salope qui n'aurait jamais dû être magistrate, s'est permise d'annoncer pendant l'instructionau Docteur Rachid MABED et à son avocat, Maître Kambiz HESHMATI, qu'il sera condamné à 18 ans de réclusion criminelle. Incroyable mais vrai !
Elle a autorisé la falsification d'un certificat médicale, d'autres documents falsifiés et elle a autorisé de prendre comme partie civile le petite amie du Dr MABED alors que a loi le lui interdit et que le procureur Eric De MONTGOLFIER a annulé à la fin de l'instruction.
Cette partouzeuse investi dans la fonction de juge, savait que toutes les violations de lois étaient automatiquement couverts par le président de la chambre d'accusation, Yves LE BOURDON, ami intime du juge Jean-Paul RENARD (qui a participé à l'instruction).
Cela s'est encore vérifié lorsque le Président LE BOURDON, a rejeté toutes les demandes de liberté provisoires, il a rejeté la demande de changement de la juge Christine LORENZINI sur le fait que son concubin était commannadt de la police sous les ordres du Directeur départementakl qui a officiellement porté plainte contre le Docteur MABED.
Elle a fait de la justice son bien personnel au point d'avoir fait une instruction poubelle dans le dossier MABED qui est détaillé avec précision.
Cette juge pensait que son impunité à Nice était éternelle au point où dans son bureau et au dessus de sa tête pendait un tableau avec une vraie feuille de canabis. Ceux qui, nombreux, sont passés dans son cabinet d'instruction, pourraient être convoqués pour le confirmer car la peur a changé de camp.
Cette crapule de juge, en fonction actuellement à TOULON, devra terminer ses jours en prison et ce,
Conformément à l'article 434-4 alinéa 2 du code pénal Français, est puni d'une peine de 5 ans d'emprisonnement et de 75000 euros d'amende, tout magistrat qui, par ses fonctions, fait obstacle à la manifestation de la vérité: de détruire, soustraire ou altérer un document public ou privé ou un objet de nature à faciliter la découverte d'un délit, la recherche des preuves ou la condamnation des coupables.(Lire I'article)
Conformément à l'article 432-4 alinéa 2 du code pénal Français à propos des abus d'autorité commis contre les particuliers, le fait par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public, agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, d'ordonner ou d'accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle consistant en une détention ou une rétention d'une durée de plus de sept jours, est puni de 30 ans d'emprisonnement de réclusion criminelle et à 45000 euros d'amende. (Lire I'article)