Donneur d'alerte grave, Rachid MABED a été condamné en guise de représailles.
Le Docteur Rachid MABED est un militant pour la défense des droits de l'homme qui a oeuvré auprés de différentes associations dont Amnesty International à Nice.
Il a alerté l'opinion publique sur une multitude d'agressions policières purement racistes dont l'assassinat d'un algérien, Monsieur Abderrahim LOUCIF, dans les locaux de la police nationale.
Seulement, l'action jugée de trop par la mafia en col blanc, fut la dénonciation publique en 1998 de l'affaire de moeurs grave couverte par des notables niçois pédophiles.
Il s'agit de l'affaire de pédophilie <KAMEL> impliquant personnellement Jean-Paul RENARD, doyen des juges au TGI de Nice alors que ce dernier s'est octroyé l'instruction de ce dossier, pour se protéger.
Menacé par la justice, Monsieur Karim Kamel, père de l'enfant, a quitté en urgence la France pour se réfugier aux USA, pays qui lui a accordé le statut de réfugié politique.
Une première judiciaire pour un français aux USA et une Honte Pour la France!
Dans ce dossier judiciaire sensible, le journaliste de Nice Matin (Nicolas GIUDICI) qui soutenait Karim Kamel dans cette épreuve en publiant les éléments de ce dossier sans pouvoir mettre en cause la participation personnelle du juge RENARD, fut assassiné.
Le Docteur Rachid MABED a fait fort en envoyant un mailing aux 577 députés de l'assemblée nationale, à tous les chefs de groupes du Senat, à toutes les associations civiles et morales de France ainsi qu'aux ministres de la république dont la garde des sceaux.
Ayant mentionné que des magistrats du tribunal de grande instance de Nice sont impliqués dans une affaire de pédophilie sans que des poursuites ne soient engagées à leurs encontres, immédiatement, la situation a évolué.
Sur le champ, le ministre de la justice, Madame Elisabeth GUIGOU, a relevé le procureur de la république de Nice, Jean-Jacques ZIRNHELT, pour le remplacer par Eric de Montgolfier qui lanca les hostilités jusqu'à obtenir la radiation du corps de la magistrature du Juge Jean-Paul RENARD.
En effet, cette action menée par le Docteur Rachid MABED fut la goutte de trop à l'origine du déclanchement de représailles contre lui sachant que le doyen des juges, Jean-Paul RENARD, était le relai incontournable de la mafia au coeur de l'appareil judiciaire.
Sous la houlette de ce magistrat instructeur, la mafia judiciaire a décidé d'éliminer le Docteur Rachid MABED illicitement par le biais d'un attentat judiciaire!
Comme il n'y avait aucun motif pour le poursuivre devant une juridiction pénale alors les magistrats du tribunal de Nice, inventent un crime à savoir un viol tombé de la cuisse de Jupiter.
Pour valider ce crime fictif sans aucune preuve matérielle ni témoignage ni même d'éléments concordants ou probants, ils mettent dessus ce dossier sensible, une chappe de plomb.
D'ailleurs, le 10 Mai 1999 alors que la cour d'assises a été constituée pour juger le Docteur Rachid MABED, Le procureur Eric De Mongolfier a déclaré en audience public dans une salle comble: " Monsieur MABED est détenu sur la base d'une simple déclaration q'il faut faire vérifier à la barre".
En clair, le Docteur Rachid MABED qui a un casier judiciaire vierge, a été renvoyé devant une cour d'assises sur la base d'une simple déclaration émanant d'une reprise de justice qui fut condamnée en 1992 par le tribunal correctionnel de Nice, pour trafics de stupéfiants.
Malheureusement, l'audience a été reportée à une date ultérieur, ce qui a permis à la mafia en robe de magistrat, de mieux s'organiser pour valider un attentat judicaire programmé.
Durant l'instruction à charge uniquement, les magistrats ont rejeté toute les demandes d'actes de procédure demandées par le Docteur Rachid MABED.
Ils ont empêché une confrontation direct entre le Docteur MABED et la pseudo victime, couvrant de facto, les contradictions indiscutables de la plaignante.
Pire que cela, ils ont refusé de discuter du certificat médical falsifié remis par la plaignante mais reconnu comme document faux par le médecin supposé l'avoir délivré à savoir qu'il ont validé un faux en écriture grossier.
Pour parfaire leur magouille judiciaire, les juges corrompus ont occulté les 21 preuves de l'innocence du Docteur MABED qui sont contenues dans la procédure.
Pour que cette magouille judiciaire puisse aboutir, la mafia en robe de magistrats a bénéficié de la connivence de l'ami intime et frère de la GNLF du juge Jean-Paul RENARD, à savoir le président franc-maçon de la chambre d'accusation d'Aix en Provence, Yves LE BOURDON.
Dés lors que la chambre d'accusation se fourvoie en soutenant des décisions de justice mafieuses, les jeux sont pipés.
La machine judiciaire fut complètement bloquée avec l'appui de la cour de cassation qui a validé le rejet illicite des demandes de renvoi devant une autre juridiction, les 3 requêtes en suspicion légitime déposées régulièrement, la centaine de dépôt de liberté conditionnelle et la quarantaine de demande d'actes de procédure.
Rien n'a été accordé pour la défense du Docteur Rachid MABED car il s'agissait d'une instruction totalement à charge relative à un crime fictif inexistant.
Avec cette mécanique procédurale illicite, le tribunal aurait pu condamner le Docteur Rachid MABED, pour l'assassiné de la député du Var Yann PIAT ou pour avoir participé aux plus atroces des crimes d'enfants non élucidés.
En effet, ce sont ces bourreaux de la magistrature qui ont lancé une procédure criminelle imaginaire contre lui tout en assurant, eux même, l'instruction à charge de son dossier avec la certitude de l'agrément implicite de la chambre d'accusation supposée effectuer le contrôle de cette instruction.
Voila la machination qui illustre cette dérive judiciaire menée d'une main de fer par le Juge truand Jean-Paul RENARD dont une inspection des services du ministère de la justice, l'a officiellement confondu dans ses relations directes avec la mafia Italienne.
Il a été radié de la magistrature pour ce motif!
C'est ce même juge, Jean-Paul RENARD, avéré dans ses relations mafieuses, qui va désigné La juge Christine LORENZINI pour la suite de l'instruction sous son étroite supervisation.
Cette même magistrate va être confondue dans sa participation active à des partouzes sexuelles et dans une affaire de drogue comme consomatrice régulière, par des notables Niçois dont un Docteur en stomatologie qui a fait du chantage au tribunal s'il n'était pas libéré sur le champ.
Par la suite, l'inspection des services du ministère de la justice a établi que ce Dentiste a été reçu sans greffière, sans convocation, sans procès verbal d'audition (ce qui est grave) et en catimini par le doyen des juges Jean-Paul RENARD qui l'a immédiatement remis en liberté.
Cette remise en liberté qui sera suivie par un jugement de clémence pour les trafiquants de drogue, a permis de taire la participation du juge LORENZINI Christine, dans cette affaire.
Le comble du complot ourdi cntre le Docteur Rachid MABED, est que la juge Christine LORENZINI est l'épouse d'un commandant de police sous les ordres directs du patron de la police, le commissaire Pierre PETITJEAN qui était en conflit judiciaire avec le Docteur Rachid MABED.
En définitive, la police à l'origine de tous les déboires du Docteur Rachid MABED, va pouvoir suivre à la trace, l'instruction en cours via la magistrate qui est une des leurs.
Cette proximité entre la juge d'instruction qui vient d'avoir un bébé avec un commandant de la police du même ressort, a justifié une demande de renvoi devant une autre juridiction pour manque d'impartialité évident.
Cette requête de renvoi a été illicitement rejetée par le président de la chambre d'accusation qui s'est publiquement déclaré dans la presse, être l'ami du juge Jean-Paul RENARD.
Dés lors, la procédure criminelle diligentée contre le Docteur Rachid MABED, est manipulée tant sur le fond que sur la forme pour parfaire la réalisation de l'attentat judiciaire programmé.
Les bourreaux assermentés de la magistrature ont atteint leur objectif de mener à la guillotine leur victime avec la bénédiction mafieuse des juges comparses de la cour de cassation.