Une mesure discriminatoire raciste et un abus de pouvoir manifeste suite au renvoi de la salle d'audience de deux éminents journalistes algériens alors que la journaliste française est autorisée à assister aux débats de la cour d'assises des alpes Maritimes.
Aveuglé par sa féroce vindicte à l'encontre du Docteur Rachid MABED qui ne lui a rien fait, Jean Michel MALATRASI va déployer son arsenal d'injustice et d'impunité.
Dés sa première intervention, il va commencer par rendre deux décisions partiales contestables à plus d'une titre puisqu'outre l'esprit contradictoire qui annime cette mesure, elle est discriminatoire à plus d'un titre constituant une violation de la loi qui annonce une parodie de justice.
Sur demande de la partie civile, le président MALATRASI décide que la Journaliste Française avait l'autorisation de rester dans la salle pour couvrir les débats et que les deux journalistes Algériens devaient immédiatement sortir de la salle d'audience.
Incroyable mais vrai, Jean Michel MALATRASI décide de virer comme des truands de la salle de la cour d'assises, deux journalistes acrédités par les 2 plus grands quotidiens Algériens et il autorise dans la foulée, la présence de la journaliste du journal régional Nice Matin.
Les deux journalistes, Nadir BENSEBAA et Ismail TALLA, ont été priés de quitter la salle d'audience alors qu'ils étaient officiellement missionnés par leur journal.
En matière de droit, le président devait se prononcer simplement sur le fait de savoir si la presse est autorisée à couvrir les débats de la cour d'assises.
Et rien d'autre.
Soit que tous les journalistes seraient autorisés à rester dans la salle soit qu'aucun journaliste n'y avait le droit.
Jean Michel MALATRASI a répondu oui à la présence de la presse mais uniquement à celle qui lui convenait pour faire de la propagande en autorisant des articles au vitriol favorables à l'attentat judiciaire qu'il a programmé.
Le Boucher de Nice, a été plus loin en décidant que malgré leurs cartes de presse internationale, les Algériens n'avaient pas la compétence pour couvrir ces débats.
Incroyable contradiction entre la décision d'autoriser la presse en général et le renvoi des journalistes Algériens comme s'ils ne faisaient pas parti de la presse.
Il a porté atteinte aux droits fondamentaux de la liberté de la presse en général, à la dignité des journalistes Algériens qui ont constaté une discrimination évidente et à leur propre compétence qui a été mis en cause professionnellement.
Le problème de l'abus de pouvoir de ce monstre ne s'arrête pas là car en parallèle, par cette décision contestable, il a porté atteinte aux droits de la défense de Rachid MABED qui voulait à tout prix que la presse Algérienne apporte un équilibre journalistique et dénonce les anomalies de procédure.
La parodie de justice a été programmée par cette crapule de juge, Jean Michel MALATRASI, qui avait l'assurance d'agir mafieusement en toute impunité.
Grâce à cette collaboration avec le journal Nice Matin, Jean Michel MALATRASI a réussi son attentat judiciaire programmée par la cour d'appel d'Aix en provence.