Alors que le Docteur Rachid MABED a été traduit devant une cour d'assises avec un dossier vide puis condamné par des juges racistes qui ont validé des documents faux dont un certificat médical falsifié et qui ont occulté 21 preuves de son innocence, le journal Nice Matin revient à la charge avec sa vindicte raciste.
Au lieu de relater la vérité d'une dérive judiciaire unique dans les annales judiciaires française, il persévère dans ses attaques iniques contre une personne dont les preuves de l'innocence sont explicitement détaillées dans ce site comme une lapalissade.
Le rédacteur en chef de ce quotidien, Denis CARREAUX, ferme les yeux sur l'innocence de Rachid MABED et il relate les verdicts de deux cour d'assises alors qu'elles ont été désignées illégalement.
En effet, pour traduire une personne devant une cour d'assises la magistrature n'a pas à le faire sur des suppositions qui lui conviennent tel que le caractère autoritaire de l'accusé dans le cadre de son travail.
Elle doit le faire non pas sur de simples déclarations mais sur des bases indiscutables avec des preuves matérielles voire des témoignages directs vérifiées.
De surcroît, elle aurait dû tenir compte du fait que la déclaration a été faite de façon unilatérale par une tunisienne reprise de justice puisqu'elle a été condamnée par le tribunal correctionnel de Nice pour trafic de stupéfiant en 1992.
Cette condamnation a été confirmée à la barre de la cour d'assises d'appel de Draguignan, en présence du journaliste de Nice Matin, par le procureur André RIBES.
Le Docteur Rachid MABED a été exécuté judiciairement par une cour d'assises non fondée dans sa désignation mais que la mafia judiciaire a légalisée mafieusement.
C'est grâce au corrompu Yves LEBOURDON, président de la chambre d'accusation, que cet attentat judiciaire a eu lieu mais la vérité va finir par triompher sachant qu'un dossier lourd est en attente et que la diplomatie algérienne va finir par intervenir à coup sur.
L'affaire de la condamnation raciste du Docteur Rachid MABED n'a rien à envier au jugement inique antisémite du capitaine DREYFUS.
Pour l'histoire qui est riche en contentieux aprés le généocide colonial de Sétif, l'Algérie ne peut pas se priver de faire bénéficier le pays d'une affaire similaire au capitaine DREYFUS contre un algérien.
L'affaire DREYFUS qui a eu lieu au siècle dernier durant la période de dictature est devenue anecdotique face à la condamnation islamophobe du Docteur Rachid MABED qui a eu lieu au 21ème siècle dans une France dite démocratique
Cette monstrueuse injustice commise volontairement par la magistrature corrompue, a donné lieu à un déni de justice inqualifiable, insupportable, inhumain et digne de la sauvagerie propre aux pires dictatures de ce monde.
Nous constatons que dans ce cas de figure, le quotidien Nice Matin nous rappelle que la génétique de ses journalistes Xénophobes n'a pas évolué avec le temps et que chasser le naturel, il revient au galop.