Khaled BOURAYOU

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En toute transparence, nous ferons de même en relatant la sticte vérité avec la chronologie des détails de sa dérive, sans offense, sans haine et sans violence, dans notre déclaration.

Nous allons démontrer que Khaled BOURAYOU, est l'homme du pouvoir que le général Larbi BELKHEIR a missionné pour faire condamner Rachid MABED.

Sinon dans quelle démocratie peut-on voir un homme justifiant de dizaines de preuves de son innocence, se faire condamner alors qu'il n'y a aucun doute sur son innocence.

Une intervention énergique de BOURAYOU faisait exploser la presse Algérienne et de facto, faisait bouger la diplomatie qui remettait la magistrature devant ses responsabilités.

Cela avait commencé par l'intervention du procureur de Nice, Eric De MONTGOLFIER, qui a declaré que Rachid MABED était incarcéré sur simple déclaration. BOURAYOU a tout stoppé.

Lorsque l'on constate les gesticulations de Maître Khaled BOURAYOU devant la justice Algérienne et qu'on compare ce comportement face aux juges Français, on ne peut que relever un homme hybride avec une double personnalité.

D'une part, on voit l'attitude de l'avocat fonceur et combattant, qui agresse le juge BELKHARCHI du tribunal d'Alger et qui dénonce médiatiquement les maux de la justice Algérienne avec à la clé une leçon de pseudo-démocrate.

D'autre part, l'avocat de la soumission avec un complexe d'infériorité vis à vis de l'ancien colon Français et qui se fourvoie superbement à une compromission avec les magistrats de la cour d'assise de Nice. Cela est un grand déshonneur.

INCROYABLE MAIS VRAI !

Maître BOURAYOU A CREE LA POLEMIQUE EN ALGERIE DANS UNE AFFAIRE PENALE AU COURS DE LAQUELLE, IL A MIS EN CAUSE LA PARTIALITE D'UN JUGE ALGERIEN, M. BELKHANCHIR ET DE TOUT LE SYSTEME JUDICIAIRE ALGERIEN SANS AVOIR ETE POURSUIVI POUR CE GRAVE OUTRAGE.

Me Khaled BOURAYOU a dénoncé les « atteintes aux droits élémentaires des justiciables ».

Nous sommes horriblement scandalisé par cette attaque qui provient d'un avocat controversé dont l'impunité de l'outrage à magistrat dans l'exercice de ses fonctions, justifie une proximité avec le pouvoir en place et dont les propos sont contradictoires avec sa vrai personnalité.

Comment interpréter cette vindicte médiatique, à l'égard d'un magistrat Algérien lorsque l'on sait que Maître Khaled BOURAYOU, a honteusement, plié l'échine devant les magistrats Français lors des débats de la cour d'assises de Nice en Septembre 2000.

En effet, Me Khaled Bourayou qui a fustigé les décisions de la magistrature Algérienne dont celles du juge BELKHARCHI, évoque ici plus que le cas d'un magistrat : les maux du système judiciaire. CLIQUEZ SUR ARTICLE

Cet avocat, donneur de leçons par voie de presse, devrait commencer par laver son linge sale car sa petite cervelle de pseudo-démocrate, doit comprendre que le combat pour faire respecter les droits de la défense donc les droits de l'homme, ne se fait pas de façon selective selon qu'ils soient bafoués par les juges Algériens ou par les juges français.

Lorsque le Docteur Rachid MABED a pris connaissance de l'intervention de Maître BOURAYOU Khaled , il a spontanement déclaré:

«Le ridicule ne tue pas chez Maître Khaled BOURAYOU dont la collaboration avec les juges français dans la violation de mes droits, a fait de lui, la honte du barreau d'Alger».

Pourquoi Rachid MABED se permet de faire de telle déclaration ?

Tout simplement parce qu'il a exactement lu dans les déclarations de Khaled BOURAYOU devant le tribunal d'Alger, ce qu'il aurait dû, faire et dire, devant la cour d'assise de Nice qui a violé, avec sa complicité, les droits de la défense son client.

Rachid MABED a vécu de nombreuses anomalies sans que Maitre Khaled BOURAYOU ne s'en offusque.

Cet Avocat est resté calme face à la parodie de justice exagérée, qu'à menée le président Jean Michel MALATRASI avec une partialité déshonorante pour la justice.

Il n'a même pas fait une remarque pour faire semblant de dire au président que les droits de la défense sont bafoués pour son client Rachid MABED.

Me Bourayou, avocat invisible devant le président de la cour qui a renvoyé 2 journalistes algériens venus pour couvrir le procés (Nadir BENSEBAA et Ismail TALLA), alors que la journaliste de Nice matin a été autorisée à rester dans la salle.

Un incident d'audience était non seulement justifié mais il s'imposait car il s'agissait de l'honneur de notre presse et de la dignité de nos journalistes jetés dehors comme des voyous.

Maître BOURAYOU, où étiez-vous ?

Pour Rachid MABED, CE FUT UNE DOULEUR IMMENSE.

Vous avez, en annexe, l'ensemble des détails de la parodie de justice qu'à vécu Rachid MABED avec la connivence de son Avocat Khaled BOURAYOU qui a amené avec lui ses amis, avocats ripoux du barreau de Marseille

Apparemment, Khaled BOURAYOU n'est pas encore libéré du colonialisme Français.

Maitre BOURAYOU, le lion Algérien qui a rabaissé la crédibilité de la noble magistrature Algérienne (car on y permet la critique) est devenu un agneau à faire des courbettes devant les voyous de la magistrature française

Devant les magistrats francais, il s'est comporté comme un Arabe de service indigne, au point où son attitude a écorné l'image de l'Avocat Algérien.

Rachid MABED a eu honte de l'attitude Algérienne dégradante que Maître BOURAYOU Khaled, a présentée devant la justice Française.

Aucune hargne dans la défense, pas de vigilance contre la partialité énorme du président Jean Michel MALATRASI, trop de laxisme dans la plaidoirie, aucun dépôt d'acte de procédure, auncun incident d'audience alors que les droits de la défense n'ont céssés d'être bafoués et une peur visible du juge Français qui restera incompréhensible.

Pire que cela fut la complicité évidente de Maître Bourayou qui n'est pas intervenu lorsque ses amis avocats, ont violé les droits de la défense de Rachid MABED en parfaite violation du contradictoire et ils l'ont empêché de prendre la parôle en dernier alors que le président de la cour l'a lui avait donnée, conformément à la loi.

Avec la participation active de BOURAYOU Khaled, Rachid MABED a été condamné sans pouvoir se défendre.

Maître BOURAYOU a-t-il oublié que l'Algérie est indépendante depuis 1962 et que les magistrats français ne sont plus des colons?

Sa façon de fermer les yeux face à la parodie de justice dont son client a été victime, a terni l'image de l'intelligentsia Algérienne.

Il n'a pas considéré le charisme et la personnalité militante déstabilisante, de Rachid MABED pour la mafia locale.

Si Maître BOURAYOU Khaled avait un peu de d'intelligence, il aurait vite compris que pour qu'un complot judiciaire puisse impliquer autant de notables dont des magistrats corrompus, c'est que son client, n'est pas le premier venu.

Au lieu des saisir la chance que lui a donné Rachid MABED, pour venir en France réaliser son rêve en plaidant devant une cour d'assises Française, Khaled BOURAYOU en fait le cauchemard de sa carrière, par une soumission digne de la collaboration de certains Algériens avec le colonialisme Français.

Lorsque l'on relit les attaques de Maitre BOURAYOU Khaled contre la magistrature Algérienne et qu'on l'a compare avec sa complaisance pour la condamnation d'un innocent Algérien en France, on ne peut que dire que c'est un arriviste fort d'une médiocrité professionnelle.

Ces propos seront régulièrement assumés par Rachid MABED car nos compatriotres doivent connaitre la vraie personnalité de cet avocat qui est incompétent et complexé vis à vis des magistrats Français.

Pour illustrer notre propos, il serait utile de mettre à la disposition du peuple Algérien, la toute première déclaration de Maitre BOURAYOU Khaled devant la cour d'assises de Nice et qui fut une déclaration de soumission.

Maître Khaled BOURAYOU s'est fourvoyé dans une déclaration honteuse qui est en contradiction avec le combat militant dévastateur de Rachid MABED, contre les agressions raciste et islamophobe, à Nice.

«C'est avec un grand honneur et un plaisir immense, que je viens aujourd'hui plaider devant votre cour d'assises. Depuis des années, j'ai toujours voulu plaider devant une cour d'assises française; c'était un rêve et c'est devenu une réalité. Je vous remercie de m'avoir permis cela ».

Rachid MABED nous jure sur son honneur, sur le Coran qui lui est très cher et sur le prophète Mohamed (salla Allah alaihi oua salem) que c'est la stricte vérité.

Aprés une telle entrée en matière, où se situe la crédiblité de Maître BOURAYOU ?

NON, MONSIEUR BOURAYOU, C'EST MONSIEUR MABED QUI VOUS A DONNE CETTE CHANCE, NON PAS POUR REMERCIER CES JUGES FRANCAIS MAIS POUR LES COMBATTRE.

Le vrai Avocat Khaled BOURAYOU, est-il celui qui défend en Algérie les droits de la défense de ses clients, en manquant de respect à un magistrat Algérien, Monsieur BELKHARCHI tout en dénigrant l'ensemble du système judiciaire de notre pays

ou bien

celui qui a lécher les bottes des magistrats Français tout en portant un préjudice grâve à la défense de son client, le Docteur Rachid MABED ?

Un vrai paradoxe dans la défense de ses clients !

Le comble, de la dérive et de l'incompétence, de cet avocat qui n'a rien de professionnel, c'est qu'aprés la condamnation injuste de Rachid MABED, Maître BOURAYOU, n'a pas daigné rencontrer son client pour le réconforter.

C'est en cour d'assises un geste professionnel non seulement automatique mais plein d'humanité vis à vis de son client en état de choc après un verdict lourd de trahison.

Les Avocats Francs-maçons choisis par Maître BOURAYOU Khaled pour l'assister, ont commis un acte illicite et intolérable.

Maître Khaled BOURAYOU qui gesticule via les publications qui lui sont acquises dans les journaux Algériens, a participé personnellement à la violation des droits de la défense.

Nous ne sommes pas uniquement dans le cas d'un juge qui porte atteinte aux droits de la défense mais dans le cas d'un avocat de la défense, Maître Khaled BOURAYOU, qui viole les droits de la défense de son propre client pour le faire condamner.

Voila pourquoi Maître BOURAYOU Khaled n'avait pas le courage de venir voir son client les yeux dans les yeux, après la parodie de justice dont il a été l'acteur.

Cela s'appelle un manquement à la déontologie, un manque de probité, une trahison, aucune dignité et une humanité inexistante.

Alors que la loi donne la parole en dernier lieu à l'accusé, Rachid MABED a été empéché manu militari par 2 avocats dont celui choisi par Maître BOURAYOU Khaled, sans que ce dernier n'intervienne.

C'est une violation des droits de la défense avec la complicité du président de la cour d'assises, Jean MicheL MALATRASI (nous démontreront son côté mafieux) qui a illicitement autorisé l'entrée dans le box de deux avocats ripoux et de Maitre Khaled BOURAYOU.

Jean michel MALATRASI ne pouvait pas bafouer les droits de la défense sans la complicité des avocats dont celui de khaled BOURAYOU.

De surcroît, en empêchant illicitement Rachid MABED de plaider son innocence devant la cour d'assises de Nice, Jean Michel MALATRASI a prouvé qu'il était un magistrat violeur de lois donc un Ripoux.

En définitive, l'avocat BOURAYOU Khaled, a dénoncé devant le tribunal d'Alger, le comportement qu'il a eu personnellement, à Nice, en violant outrageusement les droits de la défense de Rachid MABED, avec la gravité qu'il s'agissait de son propre client.

En définitive, Rachid MABED a vendu une voiture pour payer, le voyage en France et les honoraires, de Maître Khaled BOURAYOU, dans le but que ce dernier contribue à sa condamnation et ce, malgré les 20 preuves de son innocence, qui sont dignes d'une lapalissade.

Nous poursuivrons nos informations prochainement.