INTRODUCTION
La côte d'azur devait être nettoyée de la population musulmane dont la religion est jugée non compatible avec la culture de la société occidentale, par ce chef de la police nationale qui s'est vanté, publiquement, d'avoir fait ses classes militaires en Algérie coloniale. De plus, Rachid MABED est devenu un trublion très remuant qui dénonçait régulièrement certains dysfonctionnements au sein du service des étrangers de la préfecture des Alpes Maritimes.
En douceur et sous l'impulsion du directeur de la sécurité publique des Alpezs Maritimes, Pierre PETITJEAN qui baignait dans l'impunité totale, les autorités policières développaient en catimini, un petit apartheid islamophobe mesquin avec plusieurs volets pour une réelle marginalisation des musulmans, que personne n'a osé rendre public.
La politique du front national de Jean Marie LEPEN qui dénonçait démocratiquement (non mafieusement) l'accès à la nationalité française des émigrés et que la France républicaine vomissait, a trouvé un relai puissant au sein de l'autorité policière en la personne de Pierre PETITJEAN.
L'objectif sournois de ce chef de la police, fut de mettre en avant le serment de la profession pour faire condamner devant les tribunaux, le maximum de musulmans sur la base de motifs fallacieux d'outrages à fonctionnaire de police ou de délits fictifs, afin de les empêcher définitivement d'avoir accès à la nationalité française voire de les faire légalement expulser.
De surcroît, ce fut la chasse aux jeunes nés sur le sol français et proche de leur majorité, pour qu'ils aient un casier judiciaire aussi minime soit-il mais suffisant afin que leur demande de nationalité soit implicitement rejetée.
Pour chacun des abus policiers ou préfectoraux, Rachid MABED a envoyé des centaines de courriers à destination de toutes les institutions civiles et morales de France.
Il a organisé une manifestation dans les rues de Nice pour dénoncer l'assassinat de M. LOUCIF dans les locaux de la police et il a contribué à la création d'un comité de soutien efficace pour demander la libération immédiate de M. Miloud BENCHIHA de la prison de la santé où il croupissait pour un délit de terroriste sans preuve.
En parallèle, Rachid MABED a été interviewé sur ce sujet par les journalistes de la télévision locale de France 3 et il a harcelé quotidiennement le cabinet du juge antiterroriste Bruguière.
C'est comme cela que le juge antiterroriste, Gilbert Thiel, a rapidement libéré Miloud BENCHIHA dont l'ingratitude ultérieure jette un sérieux regret sur l'intervention efficace de Rachid MABED et nous laisse avec des questions sans réponse.
L'intellectuel économiste Miloud BENCHIHA a eu la malchance de porter le même nom que l'un des Emirs du GIA algérien et cela était suffisant à la DST pour le désigner comme coupable et montrer au ministre de l'intérieur que leurs services font du bon boulot.
Pourtant, Ce fut la libération de Miloud BENCHIHA qui humilia la DST à Nice et c'est à ce moment que le Docteur MABED a été menacé par le Préfet Xavier de FURST et par M. PANTALACCI (nom excat ?) de la DST et surout par le patron de la police, le voyou Pierre PETITJEAN.
Ce directeur de la police a organisé l'assassinat raté du Docteur Rachid MABED pour couvrir les mafieux qu'il a engagés et empêcher qu'une plainte ne soit déposée au commissariat de police.
Pour les autorités locales xénophobes, ce fut l'action de trop de ce militant dérangeant l'ordre établi. La multitude d'actions menées par Rachid MABED devenant insupportable, les autorités xénophobes ont déclenché le plan Hors la Loi qui consiste à agir en dehors des règles de droit.
Désormais, l'éloignement de Rachid MABED du microcosme niçois, est devenu un impératif pour ces notables voyous faute de voir leur politique raciste dévoilée nationalement au grand jour.
Il faut donc, mettre un terme aux actions dévastatrices de ce militant, qui dévoilait les agressions policières gratuites, l'assassinat couvert en suicide et qui empêchait le nettoyage ethnique de ces envahisseurs musulmans, désignés comme responsable de l'insécurité.
De surcroît, les dénonciations répétitives de Rachid MABED, ont été à l'origine de certaines enquêtes des services de la police des polices dont l'une fut directement diligentée à l'encontre de Pierre PETITJEAN qui a, par la suite, été confondu dans ses atteintes aux droits de l'homme.
C'est ainsi que nous retrouverons à la tête des barbouzes, Monsieur le commissaire Pierre PETITJEAN, qui va impunément utiliser les moyens de la mafia qu'il est supposé combattre.
Dans un premier abus de pouvoir du patron de la police nationale, Pierre PETITJEAN a fait interné en hôpital psychiatrique Rachid MABED et ce, avec l'aide direct du puissant chef de cabinet du Préfet, Xavier De FURST qui s'est fourvoyé dans une magouille d'une bassesse sans pareil.
Le lendemain de son hospitalisation, Rachid MABED a repéré le médecin du service psychiatrique qui obligatoirement complétait le puzzle mafieux sans quoi l'internement aurait été refusé.
Pour ne pas être impliqué, ce médecin hospitalier fut absent lors de l'internement mais il a pris le soin de laisser des consignes strictes à une interne psychiatre qui les a appliquées, bestialement.
Cette stagiaire a automatiquement interné Rachid MABED en lui posant la seule et unique question, devant une armada d'infirmiers: "Voulez vous accepter la piqure ou faudrait-il vous y contraindre par la force ? ".
Par conséquent et sans difficulté, Rachid MABED a, immédiatement, été piqué dés son arrivée au service psychiatrique qui a, automatiquement, confirmé son internement.
Deux jours plus tard , lors de la visite matinale, ce médecin mafieux n'a pu cacher sa joie puisqu'il déclara spantanément à Rachid MABED: "Si vous avez de la chance vous sortirez dans 3 mois".
Ce fut un choc énorme! Prévu pour un long terme, cet internement n'a duré que 11 jours car un réel expert psychiatre, remettra immédiatement en liberté Rachid MABED en lui faisant le commentaire suivant :
"Que faites-vous ici ? ".
La libération de Rachid MABED du service psychiatrique, a pris de court le commissaire Pierre PETITJEAN et le Préfet mafieux Xavier De FURST, qui vont alors sortir la grosse artillerie criminelle.
Des éléments de preuves indiscutables vont démontrer que le directeur départemental de la sécurité publique, Pierre PETITJEAN, a mis un obstacle personnel pour couvrir l'assassinat raté de Rachid MABED, ce qui démontre son implication direct.
En effet, le 14 Mars 1998, armé d'un 357 magnum, un repris de justice (c'est certain) a subitement fracturé la porte d'entrée du cabinet de gestion et a raté sa tentative d'assassinat laissant derrière lui de nombreux indices. Le commissaire Pierre PETITJEAN a tout couvert et pour cause ...
Nous avons la preuve que nous sommes avec de vrais assassins qui n'ont aucune considération de la vie humaine et qui sont reçus au sein du microcosme locale comme de respecteux notables.
Malgré le traumatisme de Rachid MABED du à cette tentative de liquidation physique, la mafia locale en costume de notable, va accélérer le processus de destabilisation pour atteindre son objectif.
Les lois de la république vont continuer à être outrageusement bafouées par des autorités sensées les faire appliquer respectueusement, à savoir par le chef de cabinet du Préfet des Alpes Maritimes, Xavier De FURST, et le patron de la police nationale, Pierre PETITJEAN.
Ces derniers ont usé de leur influence au sein de l'appareil judiciaire dont faisait partie les magistrats, Valérie COURTALON, le juge Jean Paul Renard et l'épouse du subordonné du patron de la police nationale, Christine LORENZINI, se protégeant les uns des autres avec le soutien aveugle d'une corporation, pour fabriquer un coupable criminel.
D'une violation de loi à une autre, la machine judiciaire parallèle s'est mise en route avec un puissant corporatisme, pour faire aboutir une procédure mafieuse sur la base d'un délit imaginaire digne des plus grands films de fiction.
Pour exécuter le projet mafieux, la juge Christine LORENZINI a jeté dans la poubelle de son cabinet d'instruction, les lois de la république, faisant d'une fiction incroyable, la vérité judiciaire.
Dans un excès de zèle incroyable, une tenue provoquante que l'on voit surtout dans les clubs privés, une arrogance inimaginable et une vindicte intempestive, une énorme assurance à violer les droits de la défense, la juge Christine LORENZINI fera subir à Rachid MABED, une parodie de justice et un châtiment, pire que les exactions de la dictature de Santiago du Chili du général PINOCHET.
Pour pousser au suicide Rachid MABED, Christine LORENZINI se mettra en contact avec la direction de la prison pour lui mettre une pression supplémentaire et le faire régulièrement sanctionné au point où il sera abusivement jeté dans un cachot dans le noir 23 heures sur 24 heures, durant un cumul insupportable de prés de 4 mois.
La juge LORENZINI Christine qui avait fait encadrer sur le mur de son bureau une feuille de cannabis et la photo de Bob MARLEY, a été citée par des notables niçois, qui l'ont impliquée dans une affaire de drogue avec sa participation à des soirées chaudes.
Pourtant deux personnes dont un chirurgien-dentiste, ont porté des accusations claires et précises, à l'encontre de la juge Christine LORENZINI.
Dans ce dossier, le Docteur en stomatologie, mis en examen pour trafic de drogue, fut étonné que la page de son carnet où le nom de cette juge apparaissait comme cliente pour consommation de drogue, ait disparu du dossier pénal.
Il suffisait de procéder sur le champ à une analyse de sang du juge Christine LORENZINI, pour confirmer qu'elle a bien consommé de la cocaïne et du cannabis, puis de faire citer quelques témoins des soirées chaudes et immédiatement l'incarcérée.
Mais nous savons aujourd'hui que les juges ont toutes les protections corporatistes, tous les droits y compris ceux de baigner impunément dans la délinquance.
Les peines prononcées contre les brebis galeuses de la magistrature dans des affaires graves ou contre le doyen des juges Jean Paul RENARD, est un indice d'encouragement en faveur de la violation des lois de la république.
Pour collusion établie avec la mafia Italienne et consultations illicites des fichiers informatiques voir des supposés non lieux abusifs, Jean Paul RENARD n'a pas fait un jour de prison alors que ce même doyen des juges n'a eu de cesse de jeter en prison pour des mois, de petits voleurs à la tire ou de bicyclettes.
Aujourd'hui, les juges Christne LORENZINI et Jean Paul RENARD, ont sali le casier judiciaire de Rachid MABED qui ne s'est jamais drogué, qui n'a jamais commis de délit de sa vie et qui possède une moralité plus intégre que la leurs alors que ces juges conservent un casier judiciaire vierge.
Tant que la responsabilité des magistrats ne sera pas clairement votée par le parlement avec un conseil de discipline indépendant de tous, y compris des initiés aux fraternelles ou aux associations sous influences occultes, la justice française continuera de détenir le premier prix de la poubelle de l'Europe judiciaire.
C'est en toute logique que les abus de pouvoir de Christine LORENZINI sont restés impunis et cette juge a bénéficié du retour d'ascenseur mafieux grâce aux services rendus à cette mafia locale, par l'incarcération injuste de Rachid MABED.
Le père de son enfant qui est commandant de la police, le directeur de la police nationale, Pierre PETITJEAN qui est fier de son relai au sein du tribunal, Xavier De FURST qui jubile dans sa loge d'obédience de la mise en détention de Rachid MABED, le doyen Jean Paul RENARD qui a été confondu à la protéger officiellement, ont tous pris le soin de ne pas faire apparaitre Christine LORENZINI dans la procédure pénale pour trafic de stupéfiants.
Voilà comment on laisse la juge Christine LORENZINI poursuivre sa fonction alors qu'elle est accusée de délinquance par des notables avec preuve et non pas par des voyous.
Nous relevons qu'en général, les juges ont déjà crédibilisé les accusations portés par des délinquants entre eux mais pour le magistrat, Christine LORENZINI, cela n'est pas recevable malgré la personnalité des notables accusateurs et des preuves que l'on a pas cherché a vérifier.
Le garde des sceaux a immédiatement déclenché une enquête de ses services judiciaires qui a été enterrée grâce à l'appartenance de Christine LORENZINI à un réseau occulte noble qui pourtant, devrait vite s'en débarrasser sachant que ces obédiences prônent généralement, la probité professionnelle, l'honnêteté, un débat d'idées démocratiques, antiracistes et des aides philanthropiques.
Que les réseaux de la franc-maçonnerie n'aient pas hésité à faire jouer le corporatisme pour défendre les intérêts des pires de ses membres dont les dérives du juge Christine LORENZINI, justifiera dans le futur d'une révolte populaire contre ce mouvement affairiste qui sera plus perçu comme un danger pour la démocratie que comme une association phylantropique.
C'est ce sentiment d'impunité qui explique l'instruction à charge de la juge Christine LORENZINI qui n'autorisera aucune demande d'acte de procédure, violera les droits de la défense par des auditions semblables à un cirque d'animaux tout en s'imposant dans la procédure en toute illégalité.
Nous détaillerons comment sur simple déclaration sans preuve, Christine LORENZINI va introduire dans le dossier MABED, des harcèlements sexuels bidons dans le but de noyer le dossier et faire valoir un viol imaginaire qui ne tient sur aucune preuve ni semblant de réalité.
Elle va menacer Rachid MABED, puis ses premiers avocats avant de s'attaquer au valeureux et homme d'honneur, Maître Kambiz HECHMATI, directement et par de fortes pressions du bâtonnier de l'ordre des avocats.L'objectif de faire condamner Rachid MABED pour le discréditer définitivement puis l'éloigner de la région PACA, va réussir grâce à la participation en douce du procureur Eric DE MONTGOLFIER qui va faire un beau cadeau à son ennemie jurée, Christine LORENZINI.
En effet, si Rachid MABED avait été acquitté, il est plus que certain que le juge LORENZINI Christine, ne serait plus en fonction car il ne s'agit pas d'une erreur d'appréciation du juge mais d'une violation volontaire des lois de la république pour faire aboutir le plan mafieux.
Si Valérie COURTALON peut se cacher derrière l'erreur de jugement, la juge Christine LORENZINI, a volontairement servi les voyous et ce, en crachant sur son serment ainsi que sur les règles élémentaires du droit français.
Encore aujourd'hui, Eric De MONTGOLFIER peut se rattraper pour partir en retraite la tête haute, faute de quoi l'affaire Rachid MABED le poursuivra au-dela de sa retraite.
Le procureur peut facilement entendre Mme Hadjer DRIDI (pseudo-victime et condamnée pour trafic de drogue à Nice) qui va sur le champ libérer sa conscience sachant que Rachid MABED sait qu'elle est la seconde victime de ce complot.
En effet, les accusations de Hadjer DRIDI étant préscrites, personne ne peut lui faire croire qu'elle risque la prison et Rachid MABED certifie sur l'honneur qu'il ne portera jamais plainte contre elle.
Voila comment Hadjer DRIDI que les manipulateurs ont utilisé comme une imbécile pour régler des comptes par musulmans interposés, alors qu'elle n'est pas bête mais qu'elle s'est fait avoir par Mme Liliane CASSINI, comme elle l'a déclaré de vive voix à Nadia MABED.
Le Procureur sait que Hadjer DRIDI profitera de l'audition pour régler ses comptes avec ceux qui se sont moqués d'elle et qui lui ont imposé à elle et sa fille, des moments penibles de justice. Eric De MONTGOLFIER aura-t-il le bon sens de partir propre et sans polémique ?
Lors des deux sessions de la cour d'assises, Mme Hadjer DRIDI a tenu a dire qu'elle voulait retirer sa plainte durant l'instruction.
Elle a confirmé que c'est le manipulateur hypocrite, Mohamed MABED (petit comptable gérant de AGENCE SOPH ORGANISATION CONSEIL), qui a été le premier à lui faire des menaces d'incarcération pour qu'elle maintienne ses accusations mensongères.
Ce dernier n'a pas pu expliquer son intervention alors qu'il n'y avait aucun conflit avec Rachid MABED qui n'a eu de cesse de l'inviter à manger et à boire aux hôtels dont il était le directeur.
Pourquoi ce pic assiette qui venait régulièrement déjeuner et souper, gratuitement à l'Hôtel est devenu un caniche obéissant du despote et voleur, Hadj Mokhtar LOUHIBI ?
Pourquoi as-t-il trahi Rachid MABED alors qu'il venait de participer avec lui au comité de soutien pour faire libérer Miloud BENCHIHA et qu'il avait déposé spontanément dés le début de la cabale, un témoignage positif devant le juge d'instruction ?
C'est Rachid MABED qui lui a rafraichi la mémoire à savoir que derrière Mohamed MABED, se cachait le dictateur, Hadj Mokhtar LOUHIBI qui avait l'habitude de monter des dossiers d'opposants politiques pour emprisonner ses ennemis Algériens comme René BOUSQUET ou Maurice PAPON, le faisait pour la Gestapo.
Aucun magistrat n'a voulu approfondir la volonté de Hadjer DRIDI, de retirer sa plainte alors que c'était une des clés du procès.
Qui peut citer le cas d'une femme réellement violée, qui a déposé une plainte devant la justice contre son manager qui ne la connait pas en dehors du travail et qui a voulu retirer sa plainte ?
Les personnes violées ont tellement mal qu'elles ne retirent jamais leur plainte.
Le but de la juge LORENZINI Christine en collaboration dans l'instruction avec le juge RENARD, fut de condamner un innocent en menaçant de prison la plaignante illétrée prise au piège d'une manipulation judiciaire ?
Enfin, ces voyous de la république à l'origine de cette cabale mafieuse, ne pouvaient pas réussir leur coup sans l'aide occulte du minable Hadj Mokhtar LOUHIBI qui a été intégré dans la franc-maçonnerie sans que la loge n'ait tenu compte de son passé sulfureux et de sa richesse malhonnête.
Hadj Mokhtar LOUHIBI est l'ancien consul général de Nice, grand amateur d'alcool sans limite, grand despote qui n'accepte jamais la contradiction, bafouant régulièrement les droits de l'homme et viré par la Grèce de son poste d'ambassadeur au bout de 6 mois suite à l'intervention de Rachid MABED.
Nous expliquerons les détails de sa personnalité.Hadj Mokhtar LOUHIBI qui fut magasinier dans le dépôt du centre d'agriculture de Bel Abbes en 1963.
Cela est normal car il n'a aucune instruction même pas son certificat d'Etudes primaire, sinon l'entre gens et le bagout, commun aux escrocs.
Il se présente comme autodidacte et se vante de ne pas avoir son certificat d'études primaires.Il a occupé le poste de directeur générale de O.A.I.C (Affaire de l'O.A.I.C) où il y a eu environ 26 milliards de dollars détournés dans la fin des années 70 (soit plus de 100 milliards d'aujourd'hui).
Hadj Mokhtar LOUHIBI est devenu subitement multi-milliardaire et il a participé activement à la condamnation de Rachid MABED, par ses relations directes avec le microcosme politique et judiciaire niçois.
Entre autre, il s'est servi son esclave veule et dévoué, le servile niçois, Mohamed MABED originaire de Blida (Algérie).
Le Beau-frère du général LARBI BELKHEIR qui occupait le poste de directeur de cabinet du président Bouteflika, le franc maçon Hadj MOKHTAR LOUHIBI a bloqué l'intervention diplomatique algérienne sans quoi, jamais cette affaire n'aurait pu prospérer.
Pourtant la comuanuté juive qui invite officiellement Hadj Mokhtar LOUHIBI, au repas du CRIF, devrait faire des recherches sur le journal El-moudjahid des années 74 pour écouter tout le bien que ce dernier pensait de la communauté juive, qu'il cotoie fraternellement.
aujourd'hui. Nous profitons de cet espace pour rendre hommage à l'ancien Président de la République Algérienne du Haut Comité d'Etat, Monsieur ALI KAFI dont le cabinet et l'entourage personnel, ont toujours défendu les droits des cadres supérieurs algériens, victimes de ce genre de magouilles judiciaires.
La même cabale avait été montée quelques années auparavant par cette même police avec l'implication directe de Hadj Mokhtar LOUHIBI et du consul en poste, Mohamed BENYOUCEF mais la présidence de la république algérienne sous l'autorité de M. Ali KAFI, a vite réagi car le Général LARBI BELKHEIR, ne tenait pas les rênes de la présidence de la république.
Il est regrettable que l'Etat Algérien ne s'implique davantage diplomatiquement dans la défense des ressortissants Algérien lorsqu'ils sont bafoués dans leurs droits.
Les magistrats craignent énormément les interventions politiques de la diplomatie étrangère lorsqu'il s'agit d'une vraie dérive judiciaire qui risque de porter atteinte à leurs carrières.
COMMENT L'AFFAIRE MABED A PU ETRE ENCLANCHEE ?
Nous venons de vous révéler les comparses de cette conspiration qui, publiquement, sont perçus comme des notables respectables et qui ont fait croire à un délit pénal de droit commun ordinaire.
Seulement, les pièces officielles du dossier de Rachid MABED et les atteintes aux droits de l'homme non contestables dont se sont rendus coupables ces comparses puisqu'il y a eu mort d'homme, ne laissent aucun doute à leur double personnalité mafieuse.
Maintenant que le puzzle de la cabale est reconstitué, nous allons vous présenter le cahier des charges pour la réalisation, étape par étape, de ce projet mafieux qui avait pour but l'élimination de Rachid MABED du microcosme niçois.
Commençons par énumérer les moyens qui ont été nécessaires pour la réussite de cette cabale.
Avec le poids du patron de la police Pierre PETITJEAN, de la préfecture de Xavier De FURST, du dictateur Hadj Mokhtar LOUHIBI soutenu à Alger par son beau-frère le général Larbi BELKHEIR, le juge Jean Paul RENARD et les réseaux mafieux impliqués, la démarche est établie, comme suit :
1- Le mobile à l'origine de la conspiration est décrit avec précision, ci-dessus à savoir que la police doit absolument écarter même par assassinat, Rachid MABED du département des Alpes Maritimes.
2- Les relais mafieux au sein de la magistrature qui ont été placés, sont identifiés.
C'est sous la houlette du doyen des juges Jean Paul RENARD que le juge Christine LORENZINI s'est senti protégée pour nuire en toute illégalité au Docteur MABED. La mafia est rassurée ...
Preuve fut faîte de la magouille car le juge LORENZINI s'est battue avec acharnement, pour conserver le Dossier Rachid MABED. Naturellement, elle ne pouvait être que la seule au monde, à trouver des arguments qu'elles a inventés, pour faire d'un innocent, un coupable.
3- L'assurance de la non intervention de la Présidence de la République Algérienne fut assurée par le Hadj Mokhtar LOUHIBI (Le modeste petit fonctionnaire devenu multimilliardaire) via son beau-frère le Général Larbi BELLKEIR qui a détruit l'Algérie et pillé ses ressources,
4- Le consulat d'Algérie a bien été muselé et le consul Monsieur Kamel Ali KHODJA qui a reçu froidement Rachid MABED avant son incarcération, aurait pu mettre un terme à la conspiration.
Rachid MABED l'avait informé des magouilles que préparait Pierre PETITJEAN et de son internement mafieux, mais le consul qui est un parent par alliance de Kamel DJILALI (un ami de Rachid MABED), n'a pas bougé le petit doigt.
5- L'infiltration du minable (Khobziste, arriviste) Mohamed MABED, dans le cercle proche de Rachid MABED, a réussi. Ce dernier a joué le role essentiel sans quoi, l'affaire serait vite tombée à l'eau.
Aujourd'hui, Hadj Mokhtar LOUHIBI qui est trés mal vu en Algérie, ne pourra pas lui être utile si ce n'est que de lui remmettre une petite pièce de monaie qui satisferait bien ce radin.
6- Il a été découvert qu'une reprise de justice travaillait dans l'hôtel où Rachid MABED occupe le poste de directeur, que son compagnon officiel est aussi un repris de justice donc que le chantage serait facile pour une Tunsienne illétrée à qui on fera signé n'importe quoi.
7- Le journal Nice Matin, toujours disposée à soutenir la police nationale par le biais du pseudo Journaliste, Didier CHALUEAU, a publié un torchon de saleté pour appuyer la police qui lui donne en retour de petit scoops de compensation. Nice Matin a par la suite été condamné par la cour d'appel.
8- Comme l'affaire a défrayé la Chronique en Algérie, une conférence de presse a été organisée par Nadia MABED, soeur de Rachid qui a trahi son frère, avec la participation de Monsieur Belaid METREF, ancien chef de cabinet de Chadli BENDJEDID.
Lors de cette conférence, Rachid MABED a été désigné par sa soeur, comme l'ennemi de tous les généraux de l'armée algérienne et le tour fut joué de maître, pour justifier de la non intervention de l'Etat Algérien dans ce dossier.
Nadia MABED a eu la récompense de pouvoir intégrer une loge maçonnique féminine.
9- Le Doyen des juges, Jean PAUL RENARD, a prévenu son ami intime, Franc-macon de la GLNF, Yves Le BOURDON qui occupe le puissant poste de Président de la chambre d'Accusation d'Aix en Provence.
Cette chambre d'accusation fut la pièce essentielle du complot pour couvrir les violations de la loi, maintenir le juge instructeur en charge de dossier en toute illégalité, désigner une cour d'assise pour un délit fictif sans preuve, refuser la liberté provisoire à Rachid MABED pour qu'il ne se défende pas, valider le faux certificat médical clairement falsifié, introduire des harcélement sexuels bidons dont l'un sans confrotation et l'agresser en pleine audience avec impunité.
10- La brebis galeuse qui déshonore la Franc-maçonnerie, Christian ROUSSEL, responsable du syndicat des hôteliers de Nice qui a introduit dans le dossier, son épouse, avocate.
11- Liliane CASSINI (domiciliée à Nice), propriétaire des 2 hôtels dont j'étais le directeur. Nous lui réservons plusieurs pages spéciales en fin de travail qui démontrera au peuple Nicois que nous sommes en présence d'une mafieuse, d'une voleuse et d'une corrompue.
Etre riche ne donne aucun gage d'honnêteté et nous vous démontrerons que c'est par son carctère truand et mafieux, que Liliane Anna Catherine CASSINI née GIORNI, est devenue riche.
12- Enfin, cette conspiration n'aurait jamais pu être validée par la justice, si Eric De MONTGOLFIER n'avait pas donné son accord pour la condamnation.
Remarque
Enfin, sans être contre la franc-maçonnerie, il est surprenant de voir que l'ensemble des personnes impliquées dans ce complot, ont une appartenance maçonnique.
Cela confirme le fait que lorsque l'on doit régler un compte à une tiers personne, la solidarité criminelle maçonnique, agit aveuglement même lorsque le frère est l'agresseur.
Il faut toujours soutenir un frère maçon en difficulté même si ce dernier pille les biens d'autrui ou de couvrir son abus de pouvoir manifeste, en jetant des innocents en prison.
Sur la côte d'Azur, les Francs-macons ne se soucient pars de porter atteinte au droit de l'homme mais le devoir est de soutenir des frères même si la cause est injuste.
Ou sont les débats d'idées positifs, les aides maçonniques philanthropiques, les soutiens aux causes justes ... ?
Nous ne cessons d'espérer que le ménage sera fait dans les loges maçonniques et que l'on mette un Holà à l'affairisme, à l'initiation des mafieux de la magistrature, de la police ou des despotes et voleurs comme Hadj Mokhtar LOUHIBI dont la richesse provenant d'Algérie, relève du vol.
La suite claire comme l'eau de roche, vous sera expliquée ci-dessous. Cliquez sur Affaire du Dr Rachid MABED